•• Heather K. Thomson ••

feat Taylor Momsen

© copyright

► ÂGE : 19 ans pour l'éternité ; mais 92 ans de sagesse. ► RACE : Vampyr. ► MÉTIER : Chasseuse. ► MAGIE (couleur & puissance) :: Pouvoir sans prétention, elle n'est ni faible, ni forte. D'une couleur violette. D'après elle, le violet lui correspond tout à fait. Une couleur ni chaude, ni froide, qui n'appartient à aucun camp. Sauf celui de la fourberie. ► CAMPS : Neutre. Elle est plutôt désintéressée de la guerre entre Omois et les Sangraves. Ce qui l'importe, c'est de rester en vie. ► FAMILIER : Aucun, d'ailleurs, elle est contre cette liaison, qu'elle juge superficielle. ► MON PAYS : Kraslavie, son pays d'origine. ► MON RANG PERSO : Code: <i>I feel like a <u>lucky</u> charm.</i>

________________________________________________________________________________________

► PHYSIQUE
Heather, la blonde. Parce que sa crinière claire est la première chose qui saute aux yeux. Sauvage, comme si rien ne pouvait discipliner cette chevelure, ondulée par vagues soyeuses qui tombent sur son visage clair. Ses yeux rouges, ceux d'une Vampyr, on vous épargnera tout le roman sur à quel point ils sont impressionnants. Un petit nez retroussé d'enfant. Oui, un minois de gamine. Avec des lèvres roses, charnues, qui cachent une dentition digne d'une pub pour dentifrice blanchissant, canines pointues en bonus.

Sa peau, diaphane, sous laquelle on voit parcourir les veines bleues ou vertes comme un réseau mystérieux. Ses longs doigts de pianiste, étirés tels des pattes d'araignées. Une taille svelte, menue, allongée, comme si on l'avait étirée. Chacun de ses muscles crient qu'il suffirait d'un geste pour qu'elle vous jette sur le sol. Son regard se balade de ça et là, à l'affut d'un mouvement. Les sens aiguisés, toujours en appel.

Côté vestimentaire, Heather s'habille un peu comme ça lui chante. Elle aime la personne qu'elle est, et s'assume de ce côté. Ce n'est pas comme si elle suivait une mode précise, ni comme si elle tombait dans un cliché comme celui de la gothique, punk, ou à l'opposé, en rose dégoulinant de petits accessoires flashis.

► CARACTÉRE :

« Ce n’est pas parce que tu as une personnalité que tu as de la personnalité. »

Si seulement Blondie avait bon caractère... Si seulement. Mais la miss ne fait pas partie de la classe des gentils bisounours. Elle n'aime pas se faire marcher sur les pieds, et ça ne la dérangera pas de vous grogner ouvertement dessus, même si ça fait pas tellement distingué, si vous tentez de mettre vos grosses pattes sur elle.

C'est une grande solitaire, qui aime la tranquillité. Elle fuit l'excitation, la foule, de la même façon que les terriens fuient la peste. Elle supportent peu les espèces d'Autremonde, à l'exception des vampyrs et des humains. Elles trouvent les elfes aux hormones en constante fusion trop barbares, les nains trop étranges, et les autres, elle ne veut pas en entendre parler. Elle évite de toute façon les conflits, sauf si on la provoque.
Pour une demoiselle, elle aime se battre, parce que ça la défoule, et quand elle travaillait en tant que chasseuse de Semnamachs sur Terre, elle effectuait un jogging matinal quotidien, afin que ses nerfs tiennent le coup. Car, restreindre autant les fonctions physiques d'un vampyr, peut très vite, soit le rendre cinglé et incontrôlable, soit le rendre mou et aussi inoffensif qu'un chaton rose démoniaque. Hum.
Aussi, compte-elle à préserver sa santé mentale. Donc, le sang humain, non merci.

Question magie, elle en use rarement. Sa "supériorité" physique lui semble déjà vaguement suffisante pour se débarrasser d'un parasite, sans cervelle, qui aurait la mauvaise idée de venir lui demander l'heure. On notera juste qu'elle est de couleur violette, oui, comme ça, pour le fun.

► HISTOIRE :

C H A P T E R 1 : C H I L D H O O D

Lettre n°1 :

Quand je vois les gens qui courent vers le métro, se bousculant, pour atteindre un wagon avant le rugissement des portes qui claquent, j'ai envie de soupirer. Ils vivent pour un wagon, se mettent en colère quand le train part avant qu'ils aient pu prétendre à y entrer. Ils suivent leur chemin, sans faire attention aux autres. Pas une parole. Des gens qui se côtoient sans un murmure. Le vacarme ambiant tout autour de nous. Juste des regards qui se transpercent. Je les évite.

Je suis née en Angleterre, dans les Cornouailles. C'est une région un peu isolée, parce que le temps n'y est pas clément, que les gens qui y habitent voient d'un mauvais œil les touristes. Verdure, pluie, campagne, dépaysement. Je m'y suis toujours plu.

Pourtant, aujourd'hui, il a fallu que je sorte de ma petite campagne humide. Ma meilleure amie, Shannon, sautillait de joie depuis une semaine, répétant inlassablement le même refrain : « On va à Londres ! On va à Londres ! ». Voyage scolaire. Nous voilà dans le métro, et Shannon a perdu de son enthousiasme. La pollution peut-être. Son regard se perd contre une vitre, et je vois ses boucles brunes tressauter sur ses épaules. Quelques fois, elle m'adresse un sourire amical, puis redevient tristement mélancolique.

Finalement, il fait gris. Le mauvais temps nous a suivi jusque sur la capitale. Elle sourit en voyant Big Ben, sautille sur place à la vue des divers ponts qui passent au dessus de la Tamise. Dans le St James parc, elle donne des cacahuètes aux écureuils gris, tout en gloussant. Aussi, quelques fois, elle me demande de sourire, mais fait la tête, parce que je n'ai jamais l'air assez heureuse à son goût. Quand je lui demande pourquoi elle n'arrête pas de se recoiffer, elle répond qu'elle pourrait croiser un riche et beau aristocrate qui tomberait fou amoureux d'elle. Je crois qu'elle est naïve.

Londres, juillet 1939.

Lettre n°2:

Les soirées dansantes, je n'ai jamais été fan. Pourtant, Shannon a insisté pour que je l'accompagne, en utilisant sa petite mimique qui la rend "trop mignonne". Un jour, je lui avouerais que ça la rend plus agaçante qu'autre chose... Elle a voulu choisir ma robe. Mais je n'en avais apporté qu'une. Alors, elle m'a coiffé. Elle a remonté mes cheveux avec une pince, et elle m'a poudré le visage. Ça me donnait un teint blafard, mais à chaque fois que j'essayais d'en enlever, elle me tapait sévèrement sur les doigts, les sourcils froncés.

Je n'ai jamais aimé les garçons, et j'avais l'air d'une idiote, au milieu de cette salle. Je ne voulais pas attirer les regards, et pourtant, je savais qu'une grande blonde comme moi ne passerait pas inaperçue, malheureusement. Shannon me donnait des coups de coudes provocateurs pour que je lève les yeux. Mais j'étais droite, renfermée, j'étouffais dans cette robe, sous ce maquillage qui me rendait plus vieille.

Mon sixième sens, c'est-à-dire, celui qui vous crie « Hé, c'était une mauvaise idée de venir ici ! Mais tu peux encore prendre tes jambes à ton cou ! » faisait battre mon sang dans mes tempes. Shannon, l'ingénue, s'amusait comme une folle. Je lui conseillais de ne pas boire, mais elle éclatait de rire, déjà ivre à l'idée de danser avec des mecs. Finalement, je la laissais au milieu de la salle, pour trouver une place, dans un coin sombre. Un homme vint m'inviter à danser, je déclinais l'invitation en le dévisageant. Tandis que j'observais ma meilleure amie passer d'un bras à l'autre, avec insouciance. Un jeune homme s'approcha. Je jetais un regard de trop dans sa direction - un seul en fait - et il se mit à briller. Comme une luciole. Sur le coup, j'accusais l'éclairage. Visiblement, j'avais été la seule victime de cette illusion. Je sortais prendre l'air, m'allumant une cigarette. Il était là, il m'avait suivi.

Il s'approchait, et à sa démarche, je commençais à réaliser que si ce que j'avais entraperçu était réel, alors cet individu n'avait rien de normal. Rien d'humain. Mon hypothèse fut confirmée. En un rien de temps, je me retrouvais par terre, frappant, griffant de toutes mes forces mon agresseur-luciole. Mais il était plus fort que moi, anormalement fort, même. Il balayait mes cheveux de ma nuque, et plongeait vers ma gorge. Maintenue fermement, j'espérais juste que c'était une farce. Un psychopathe qui se prenait pour Dracula, dans les rues nocturnes de Londres. Mais ses canines s'avéraient réellement tranchantes, perforant ma peau, s'abreuvant de ma vie. Il faut dire qu'à l'époque, j'étais carrément dégoutée par le sang. Le moindre goutte me donnait des vertiges. Mais ce jour-là, ce n'était pas désagréable. Je flottais, entre deux mondes. J'avais cédé, accepté mon sort, et je m'endormais dans les bras de mon meurtrier.

C'est Shannon, l'époustouflante, qui, sortie de nulle part, s'est mise à pousser des petits cris alarmants, en voyant un inconnu penché sur moi. C'est alors qu'il m'a lâché. Il s'est enfui. Elle avait une expression grave, et même si j'étais faible, je trouvais qu'il y avait quelque chose de bizarre dans son attitude. Mais le noir s’abattait sur moi.

Londres, juillet 1939.

¤ ¤ ¤

C H A P T E R 2 : OBVIOUSLY REQUIEM

Lettre n°3 :

Quand je me suis réveillée, bizarrement, je me sentais presque bien. Shannon, semblait épuisée. Elle n'avait pas pris le temps de se changer. Quand elle m'a vu ouvrir les yeux, elle a poussé un soupir de soulagement.

« Tes mains, elle brillent. » j'ai articulé.

Elle a souri tristement, comme si elle le savait, ou alors que je délirais. Pourtant, je les voyais ses mains, avec cette aura jaune clair. On aurait dit qu'elle avait étranglé une armée de poussins, pour se donner cette teinte si claire, si foudroyante... Elle murmura une incantation, mais je ne faisais pas trop attention.

« C'est un miracle que tu sois en vie. Les humains se transforment rarement en vampyrs. Ça tient plus du mythe que de la réalité. » elle a articulé.

Mais je recevais ses paroles, comme dans un vieux film, au ralenti. Ma tête tournait. Ma meilleure amie, faisait de la magie. J'étais une "vampyr". Tout ça d'un seul coup, à avaler, c'était vraiment brutal. Je me levais, avec difficulté, mais elle ne chercha pas à m'aider, ni à m'y empêcher. Le reflet du miroir fut brutal. Une blonde au teint livide, aux yeux rouges paranormaux. J'avais envie de pleurer, mais je me demandais si le monstre que j'étais devenue en serait capable...

Shannon est rentrée toute seule dans les Cornouailles. Après m'avoir expliqué toute la nuit, qu'il y avait un monde pour moi. AutreMonde, qui m'accepterait telle que j'étais. Elle m'a sorti un plan et m'a montré où je pourrais trouver une porte de transfert. Elle a noté une série de noms, des gens qui pourraient m'aider... Et puis, elle m'a dit d'éviter les Brigades Noires. Je ne savais pas qui était ce groupe, mais elle m'a juste dit qu'il me voudrait du mal. Que le vampyr qui m'avait transformé, ne devait pas boire de sang humain... Que l'être que j'étais devenue, était... corrompu. Que même pour ma race, je faisais partie des pires.

Pour protéger ma famille, je ne suis jamais rentrée.

Londres, juillet 1939.

¤ ¤ ¤

C H A P T E R 3 : ANOTHER WORLD

Lettre n°4 :

Autremonde est en réalité, un univers gigantesque. Je ne sais pas si c'est par chance, mais apparemment, je suis tombée sur les bonnes personnes. On m'a révélé que j'étais une sortcelière, comme Shannon. J'aurais pu avoir une vie paisible, fréquenter une école, où on m'aurait appris à contrôler ma magie. Mais, un vampy était passé par là, me transformant en créature assoiffée de sang. On m'a fait boire du sang de bestioles bizarres, mais au moins, je me sentais mieux. On m'a caché lorsque c'était nécessaire.

On ne pouvait pas guérir l'être que j'étais. Je n'étais pas la vampyr classique, qui passe par là, se transforme en chauve-souris et basta. J'étais pire, un monstre, horrible. Même mes congénères, me détestaient, et voulaient m'emprisonner pour me voir mourir. Les Brigades Noires, voilà, qui ils étaient. Grâce à un contrôle sur moi-même, le peu de relations que j'ai pu me faire m'ont beaucoup donné. J'ai pu travaillé, ce qui me semblait impossible. En tant que chasseuse de Semnamachs, sur Terre. Je n'ai jamais recroisé le sale type qui m'a pourri à jamais ma vie tranquille.

Autremonde, Février 1962. (mois et année terriens)

Lettre n°5 :

Je cours pour ma survie. Ils m'ont trouvé. En fait, ils savaient où j'étais depuis le début. Mais ils attendaient le bon moment pour m'atteindre. Ils sont plus forts, ils ont plus d'expérience. Je ne peux faire qu'une chose. Fuir. On m'a volé mon humanité, ma vie toute entière. Shannon fête ses 42 ans, alors que je serais à jamais dans ce corps empoisonné de 19 ans. Enfin à jamais... Il faudrait que je leur survive.

Voilà plusieurs années que je travaille sur Terre, ça me plait. Je n'ai pas besoin de me faire d'amis, et j'ai l'impression de servir à quelque chose. Chasser, courir, traquer, c'est tout ce que je sais faire. Mon corps est fait pour ça. C'est dans ma nature. Et je le fait pour une bonne cause, et c'est plutôt bien payé. Il leur a suffit que je revienne sur Autremonde. Ils m'attendaient. La Brigade Noire. A côté, les Sangraves ne me font même pas frémir. Mais eux, veulent me tuer.

Tout se passe très vite. Ils sont plusieurs, ils ont l'avantage. Je n'aurais peut-être jamais dû mettre les pieds en Kraslavie. Mais j'étais curieuse de voir que je n'étais pas la seule vampyr ici. C'est là qu'ils ont dû me repérer la première fois. Je ne sais pas comment ils ont fait. Je fuis. Moi, l'éternelle prédateur, pour la première fois, c'est moi qui me fait poursuivre. Je n'aime pas cette impression, d'avoir l'ennemi dans son dos. On ne sait jamais quand est-ce qu'il va sauter, pour vous égorgez d'un coup de poignard.

Je cours, mais je trébuche, j'ai envie de pleurer. Ils sont derrière. Ils jouent avec moi, se moquent de l'être fragile que je suis. Ils auraient pu depuis longtemps mettre fin à cette course, mais il préfèrent me voir me démener. Je m'en fiche. Je serais morte une deuxième fois. Mais pas sans m'être battue.

Ô Shannon, je suis venue te voir plusieurs fois, à la fenêtre de ta maison. Mariée, embellie, deux enfants. Ils sont magnifiques, ils ont tes yeux gris, et tes cheveux bruns. Shannon, ta magie jaune me manque. Ton côté électrisant. J'espère que ta vie sera parfaite.

Comme un poème de Baudelaire, démoralisant, mais impétueux, je me bats pour rester en vie. Ce qu'il m'en reste. Je hurle à pleins poumons vers le ciel. Je me fiche de mes futurs meurtriers, parce que je cours vers la liberté. Dans un ultime saut, je me jette vers une porte de transfert. Pour disparaître. Ce n'est pas cette fois qu'ils m'auront...

Autremonde, Juin 2003. (mois et année terriens)

PETITES QUESTIONS...

► Que pensez-vous de la nouvelle impératrice ?
Je ne la connais pas. L'Empire d'Omois est plus un refuge qu'autre chose, en attendant de me faire de nouveau pourchasser par la Brigade Noire. Alors, l'impératrice, même si elle est alliée avec les Sangraves, je ne la trouve pas très intéressante. Qu'est ce qu'elle fait là, déjà, sur ce trône, alors qu'on sait même pas s'il lui est légitime. Et ensuite, c'est quoi son nom déjà ?
► Que pensez-vous des Sangraves ?
Je les trouve plutôt pathétiques. Ils cherchent à mettre le bazar partout. Ces derniers temps, avec la mort de "Tara Duncan" - déjà, est-elle vraiment morte ? Ça ferait juste la deuxième fois qu'elle échappe à Outremonde, hein. - on a plus l'impression que c'est la version Secret Story sur Autremonde. Entre les "Je t'aime, moi non plus" de Magister, Selena et Selemba... On se demande qui va finalement sortir vainqueur de cette mascarade et empocher les 150 000 euros !
► Que pensez-vous de la tournure que va prendre le sacre ?
Je ne sais pas. Sans doute encore plus de confusion, une bataille sanglante peut-être. Le mieux, ce serait que les Sangraves débarquent, histoire de plomber l'ambiance. Déjà que les fêtes impériales, manquent cruellement de fun...
► Et le code caché dans le règlement ?
[color:8bab=81B700]*Validé par Pino*

ET SINON...

► Un prénom ?
Hum. Laurence.
► Des passions ?
Le graphisme à mes temps perdus, la musique japonaise, l'équitation, les poulpes, lire des romans à l'eau de rose, les cookies, les pocky... What else ?
► Avez-vous lu tous les Tara Duncan ?
Ouai, tous à mon compteur.
► Comment êtes-vous tombé sur le forum ?
Par partenariat me semble.
► Une dernière bafouille
Je pense faire une histoire un peu longue, donc désolée si ma fiche traine. ôwô

Welcome :3.

Je crois que ça se dit "ézeur" /O/ *Sinon, quand on sait pas, comme moi, on se la ferme ça marche aussi 8D* Vive Reverso qui propose des prononciations.
Sinon bienvenue en français cette fois 8D (Maggle)

Merci beaucoup pour cet accueil ! *o*

En effet, Heather se prononce comme... Weather, mais sans le "W". BREF. 8D
ézeur, quoi. On dirait Freezer. //sbaff
Sinan, ouai, je confirme, j'suis une vampyr. D'ailleurs, j'ai appris un truc. J'savais pas que les mélanges vampyrs/elfes étaient possibles. ô.ô
Du coup, je me suis fait un délire sur un mélange humain/vampyr/loup/nain ... J'ai même pas d'image en tête pour illustrer ce délire tellement c'est bizarre. XD
Le code a été rajouté, au passage. Fu fu ~
Et sinon, je continue à avancer ma fiche, doucement mais sûrement. Ahaha ~ ♥
Je suis une grosse gamine ! 8D

En attendant, je suis perturbée de ne pas savoir qui tu es ... Ou si je te connais ... Ouais, je suis très perturbée .__." Mais j'ai quelques idées en tête :3.

Ouais donc peut - être que je te connais pas D: Et ouais on a la classe