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 FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »

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Frederich V. Frost
Frederich V. Frost





Par Le Revelus :
Accréditation:
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MessageSujet: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Lun 10 Nov - 22:31




- boris vian
« les boutiques des fleuristes n'ont jamais de rideaux de fer.
personne ne cherche à voler des fleurs. »

Accréditation
Bonjour à tous, chers téléspectateurs ! Aujourd'hui nous accueillons parmi nous  Frederich Frost mais vous pouvez l'appeler Freddie car on est entre nous !
Et oui Jim, cette nouvelle recrue fraîchement débarquée de la Porte de Transfert d'Omois est on ne peut plus sorcelier et nous fait l'honneur de sa présence du haut de ses dix-neuf belles années.
Et encore John, vous n'avez pas tout vu, car ayant déjà interviewé notre invité, je peux vous certifier que ce nounours a une magie de couleur bleue nuit et d'une puissance moyenne. Il va falloir s'accrocher John ! Mais la question qui vous brûle sans doute les lèvres...
….est : mais à quel camp notre lascar appartient il ? La réponse est le camp neutre, il appartient donc logiquement au groupe des neutres...
Mais nous ne le jugeons pas, John, bien au contraire, les autres membres de ce groupe vont l'accueillir à bras ouverts, lui et son familier ! En fait...
... Notre ami n'a pas un familier.
Oh que c'est bouleversant John ! Pour finir avant de passer à la météo lancovienne, nous devrons ajouter que ce kiwi a un mot à vous dire : GENRE TEPU TA TEPU A PAS UN TRAITEMENT DE FAVEUR *boude* "code validé par la Tepu-Deathy" et en plus vous avez un pb avec les blonds putain ? :(
Car les blonds c'est le mal ma Tepu chérie :c

Quelle bonne parole Jim ! Nous l'aimons déjà !

Caractère
Certains, certaines, voient le monde en équation.
Ils calculent et mesurent chaque instant de leur vie, chaque chose qui effleure leur regard, tout, n’importe quoi, constamment. Certainement pas Freddie. Lui qui exècre toute science si elle n’est pas humaine se plait à poser des mots là où d’autres placent les chiffres. Il attache aux mots, à leurs sonorités, à la mélodie de la parole, aux intonations, à tout ce qui fait le langage, une importance particulière, et les analyse toujours du mieux qu’il peut. En réalité, ce n’est pas seulement aux mots qu’il accorde ce crédit particulier ; c’est à tout. Hypersensible, il ressent les couleurs et les lumières, il rêve de pouvoir les capturer telles qu’il les voit, il sent son corps entier réagir face à aux beautés communes de la vie, face à l’intensité, à l’émotion, à tout ce qui vous prend aux tripes, il se hérisse devant les vocalises parfaites, il vit avec une sensibilité décuplée qui lui permet un émerveillement et une appréhension du monde totalement différente, et sûrement mille fois plus intense. Pour ça, il aurait toujours rêvé d’être artiste, et dessine comme il peut, dès qu’il peut, peint, danse, chante, incapable de retenir en lui l’intensité de ses sensations, comme forcé par son vent intérieur de les extérioriser physiquement.
Freddie vit plus fort.
Pour autant, là où on pourrait le penser plus fragile, car plus sensible, il me semble important de préciser que cette sensibilité est uniquement sensuelle, pas émotionnelle. Il a, au contraire, fini par comprendre le rôle primordial que joue, de nos jours, notre capacité à faire abstraction de la douleur morale dans notre rapport à autrui. Chacun, aujourd’hui, se déguise, cherche à se masquer, et ne tombe le masque que de très rares fois lorsqu’on se sent en sécurité ; Freddie traque ces instants pour les éradiquer, convaincu qu’il vivra mieux en se sentant en danger, certes, mais sans s’ouvrir à n’importe quel beau parleur. Il a développé des dizaines de techniques pour éviter par un entrechat les révélations et autres ouvertures de cœur, laissant ça à ceux qui en font leur métier, et préfère se replier sur lui-même, quitte à, au final, être plus remarqué encore car il devient rapidement cassant, désagréable, bref, il entre en mode de survie.

Il se trouve que Freddie n’est pas un mec aimable, de prime abord. Plutôt renfermé sur lui-même, observant en fumant sa clope, l’air peu engageant, il préfère jauger du regard, chercher tous les détails, essayer de mettre les mots sur l’impression qu’il dégage des gens, quand il en dégage une, quand il s’y intéresse. Pas timide pour deux sous pour autant, il n’a aucun mal à aller vers ceux qui le dévisagent mal ou lui font des sourires pour mettre les choses au clair, avec plus ou moins de diplomatie. Toutefois, si vous dégagez quelque chose qui lui plait, une beauté particulière, une impression qui le fait frissonner, quelque chose qui l’intéresse, il n’hésitera pas à se diriger vers vous ; dans ce cas, il sera comme aimanté, en partie par intérêt, et fera des efforts assez monumentaux d’extraversion, d’ouverture au monde, à vos goûts, et surtout pour être agréable, dans le but de se mettre en bon terme avec vous. C’est peut-être une forme d’arrivisme, étant donné qu’il est comme attiré par ces lumières, et qu’en papillon, il cherche juste, d’une certaine façon, à les apprivoiser pour en profiter sans se consumer, pour se réchauffer sans se brûler.


Il faut admettre que tout cela peut paraître assez abstrait ; il se trouve que c’est une des caractéristiques phares de Freddie. Il adore les concepts, l’absurde, le surréalisme, les idées, autant que les sensations, et s’interroge, se questionne – philosophe, en somme. Souvent, il cherche ce qu’il y a derrière un mot, des fois au beau milieu d’une conversation, d’une façon totalement incohérente et surprenante, des fois lorsque, les yeux grands ouverts couché torse nu sur son lit, il se pose ces petites questions qui paraissent ridicules et même à lui-même, jusqu’à ce qu’il leur trouve un sens. Exemple ? « Est-ce que ce serait dur de vivre la vie d’une porte ? » Posez lui la question, il se paiera votre gueule, y repensera le soir, et vous fournira une réponse le lendemain. Il ne peut pas s’empêcher de penser, là où d’autres ne peuvent pas s’empêcher de s’abrutir, il se sent comme obligé de chercher des réponses, ou au moins des pistes. On a tous nos raisons d’avancer, nos moteurs, nos principes : celui de Freddie est de trouver le sens de sa vie plus forte, par survie, car n’oubliez jamais, « juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue, c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie. »

Pour vous dresser un tableau moins conceptuel de Freddie, sachez tout simplement qu’il est ce genre de mec difficile à cerner. Il parait timide, ou méprisant, de prime abord, mais montre vite qu’il sait faire le premier pas et n’hésite pas à aller au-devant des emmerdes pour pas grand-chose. S’il vous méprise, attendez-vous à recevoir parmi les plus cyniques des piques, d’un ton tranquille, blasé, assez indescriptible en somme, mais qui vous met mal à l’aise, qui vous dérange un peu car vous comprenez que, sans forcément le dire, il vous prend pour un con. Il sera détestable s’il vous a en profond mépris, puisqu’il se refuse à dire qu’il déteste, détestant impliquant être victime de sa haine, mépriser rejetant à ses yeux toute la faute sur l’autre, car bien entendu, Freddie n’est jamais le coupable, vous le savez bien. Ou du moins, il partage toujours sa faute avec l’autre. S’il vous a donc en profond mépris, mais que vous comptez pour quelqu’un à qui il tient, attendez-vous à ce qu’il le montre par de nombreux moyens. Tantôt il vous ignore, tantôt il vous jette un regard moqueur, lâche des piques délicatement couvertes par un semblant de politesse, bref, il vous tacle avec le minimum de discrétion et de dignité qu’on peut attendre de la part d’un adulte. S’il n’a aucune raison de rester dans le politiquement correct, il vous taclera sans aucune politesse, c’est la seule différence : son ton reste calme, son sourire mi-figue mi-raisin, il a l’air calme et encore plus arrogant. On l’appelle alors « connard ». Si, par contre, il tient à vous, Freddie sera capable d’être un confident muet comme une tombe, d’être un protecteur prêt à traquer vos bourreaux à l’autre bout de la terre, il sera celui qui débarque chez vous dès qu’on l’appelle, celui qui ne vous lâche pas, celui qui vous relève, mais aussi celui qui vous dit paniqué « je veux pas te perdre » dès qu’il a l’impression que votre relation s’amenuise, celui qui refuse de comprendre qu’on peut bâtir différentes relations avec la même personne, que la fin n’est jamais une fatalité. Enfin, il sera celui qui vous laisse vous ouvrir, comprend, compatit, vous livre des secrets, mais rarement les siens. Freddie, c’est aussi ce mec qui ne croit pas à l’amour, absolument pas, jamais, qui méprise les démonstrations publiques d’amour, les couples qui se lèchent la glotte en public, c’est celui qui ne croit pas vraiment à autrui, qui n’a pas de familier, et qui se complait dans sa solitude, quand bien même il n’exècre pas la compagnie.
Freddie est, au final, un condensé de beaucoup d’émotions contradictoires, qui forment un semblant d’équilibre.


Histoire





Mais vous savez, quand on est amoureux, on est idiot ...

- BORIS VIAN

On dit que l’amour dure trois ans. La plupart des gens n’y croit pas, prétend que ce ne sont que des boniments de nostalgie ou de célibataire, et ne se soucie guère de l’arrivée de la date fatidique. Mais lorsque Violaine et Grayson se séparèrent, il n’y avait bel et bien eu que trois ans entre eux, et leur fils Frederich n’en avait guère plus qu’un an et demi. Il faut dire qu’ils avaient pourtant été rapides à la tâche, ne chômant sous la couette, ni sous la douche, ni le soir, ni la journée – en bref, ils prenaient chaque instant où leurs regards se croisaient comme la promesse d’un acte charnel, et finissaient presqu’à chaque fois de la même façon : comblés.
Pourtant à la naissance de Freddie, les ardeurs de Grayson retombèrent peu à peu. Il est vrai que la crinière rousse de sa femme, sa peau laiteuse, le léger embonpoint qu’il affectionnait tant étaient, parmi les nombreux autres charmes de sa femme, capables de réveiller son désir quelques fois, mais il se sentait parfois sale et coupable de s’adonner aux plaisirs de la chair, alors qu’il lui semblait qu’il se devait de devenir le plus pur possible, pour permettre à son fils d’être élevé dans la plus blanche des maisons.
Violaine, elle, ne comprenait pas les réticences de son époux. Il lui apparaissait que, après neuf mois à avoir porté l’enfant, s’offrir l’acte sexuel à sa volonté était comme une félicitation, une récompense, et elle avait tendance à s’étonner, ouvrant ses grands yeux gris bleus, candide, face aux réticences de son mari. Là où l’aimer semblait le salir, elle pensait l’acte comme une sorte de purification, comme une extériorisation de ses désirs, comme quelque chose de nécessaire et de louable.
Grayson ne voulant rien entendre, Violaine fit ce qu’il lui paraissait le plus naturel et le plus logique : elle s’enticha d’autres. Pour elle, comme avant elle pour l’Hélène de Giraudoux, elle trouvait cela agréable de les frotter contre soi comme de grands savons. Elle n’avait jamais tenu l’amour comme réellement important, elle prenait assez naïvement toute forme d’attirance pour le grand amour, et papillonnait d’un amant à l’autre, écoutant avec candeur ce que lui dictait son cœur, et ne s’embarrassant pas des concepts d’immoralité qu’aurait voulu lui imposer la société.
De fait, lorsque Grayson réalisa, la première fois, il se contenta de hurler, de tambouriner du poing sur la table, de lui dire ces mots qui la blessaient, de la faire pleurer un peu, sans réaliser que c’était par incompréhension face à ce déversement de rage plutôt que par honte, culpabilité ou regret face à sa faute, puis il accepta de tourner la page une fois. Deux fois. La troisième, il partit, emmenant son fils avec lui, et intenta une procédure de divorce, se battant bec et ongle pour obtenir la garde de son fils, avec l’unique énergie de sa rage et de sa douleur.


J'AI LA VIE QUI ME PIQUE LES YEUX

- RENAUD

Sans trop savoir si c’était le mal du cœur brisé ou la douleur et la honte de la tromperie, Grayson se referma sur son fils et sur le foyer atrophié d’une âme qui lui restait, comme un oiseau referme ses ailes sur le corps gracile de son enfant. Là où d’autres se seraient empressés de répéter à l’enfant, malléable et crédule, que sa mère ne l’aimait pas ou qu’elle les avait abandonnés, Grayson se contenta, grand seigneur, d’insinuer qu’elle était partie mais pas inaccessible, et tolérait, les dents serrés et le regard glaçant, les visites de son ex-femme de temps en temps, lorsqu’elle se souvenait qu’elle était la mère d’un petit savon, né de son union avec un de ses nombreux grands. Bizarrement, elle semblait gênée, mal à l’aise, comme si elle n’eut pas trop su quoi faire, comment se purifier de lui, comme si l’idée d’en être la génitrice l’interloquait, la surprenait, lui restait étrangère, comme si, au fond, bien qu’elle éprouva beaucoup de tendresse et d’affection pour le petit bout d’homme pépiant allègrement dans son berceau, elle ne se sentait définitivement pas sa mère. Peut-être était-ce d’en être éloignée, de ne pas l’élever elle, de ne pas lui donner le sein, mais au final elle le considérait davantage comme un neveu ou le fils d’une amie que le sien, mais au fond, elle restait assez naïvement dans l’idée qu’elle était encore jeune et insouciante, et cette situation lui convenait au final parfaitement.
Là où Violaine semblait baigner dans la Jouvence, Grayson, lui, semblait vieillir de l’intérieur. Devenant acariâtre, voire presqu’aigri, il répondait sans dynamisme et semblait s’être désintéressé de tout ce qui ne touchait pas à Freddie, encore qu’il ne se comporta de façon commune pour l’élever, sans enthousiasme particulier, juste avec l’habitude et l’intérêt tranquille que chaque parent a au milieu de son quotidien lorsqu’il chérit son bambin. Quoi qu’on lui demandât, il pensaitt « à quoi bon ? », il n’y avait plus d’intérêt ni de motivation, il effectuait son travail sans vitalité, et se contentait d’attendre que le temps passe. Il faisait de ces plaisanteries douces amères qui tiraient des sourires tristes à se samis, et faisaient glousser de rire le petit Freddie, trop jeune pour percevoir le drame derrière le comique.


Ceux qui ne voient que l'amour dans le monde sont aussi bêtes que ceux qui ne le voient pas.

- JEAN GIRAUDOUX

Avec sa légèreté volage, Violaine avait fini par venir frapper de nouveau à la porte de Grayson. Elle papillonnait, butinait çà et là, mais semblait le voir de nouveau comme une fleur délicieuse, et lui faisait de jolis sourires lorsqu’elle passait voir son fils, battait des cils avec naïveté et lâchait ce rire en cascade auquel il n’avait jamais su résister. Peu à peu, la rancœur et la honte de Grayson cédèrent leur place à la tendre affection qu’il avait toujours éprouvé pour la jeune femme, et il accepta de lui accorder de nouveau un peu de temps. Ils se virent, s’étreignirent, et la suite coula de source.
Seulement, la candide avait, entre temps, bercé de ses charmes un autre homme, qui découvrit vite le pot aux roses ; comme précédemment Grayson s’était vu humilié et piétiné, celui-ci s’indigna, se choqua, et finit par éclater une véritable scène lorsque les trois adultes se retrouvèrent ensemble, sous les yeux d’un enfant de trois ans ans qui ne comprenait rien, sinon qu’une femme pleurait d’incompréhension, et que son père et un homme se hurlaient dessus avec véhémence. Mais qui était-elle ? Pourquoi se disputaient-ils et pourquoi pleurait-elle ?
Alors que les premiers coups partaient entre les deux hommes, Violaine se mit à crier et prit son fils dans ses bras, dans un geste qui ressemblait davantage à celui d’un enfant serrant sa peluche plutôt qu’à une mère protégeant son enfant. Or, ce dernier réagit d’une façon qui suffit à faire cesser les pleurs de la femme, cesser les cris et les coups des hommes, cesser tous les bruits dans la pièce : il se débattit, et lui demandant qui elle était.
Ainsi, Freddie ne reconnait pas sa mère comme étant sa mère, et le geste était assez fort aux yeux des trois adultes, ou du moins des deux hommes : Grayson prit son fils dans ses bras, et fier, intima à son ex-femme de partir, tandis que son nouveau compagnon lui faisait comprendre qu’elle n’était plus la bienvenue dans son ancien chez elle, et qu’elle n’avait plus que lui.


Mocerino
Bonjour tout le monde, moi c'est Mocerino, j'ai dix-sept ans, je suis en terminale littéraire spécialité arts plastiques dans un bahut où être en L signifie être la plus pure des merdes, et se coltiner toutes les salles sans chauffage, avec les fenêtres qui sont bloquées dans une position à la fois ouverte et fermée (c'est assez complexe à expliquer, mais nous, on a tous en tête ces fenêtres où un côté du montant est décollé, l'autre fermement vissé, et qu'on ne peut par conséquent ni totalement fermer, ni ouvrir en grand ...), enfin bref, je suis la mal aimée de mon bahut, en plus je suis blonde et fringuée toute en noir avec des teeshirts de groupes, vous imaginez que mon directeur et ses costards m'adorent. En parlant de groupes, je suis une grande fan d'Iron Maiden, je les ai vu trois fois en concert, j'adore beaucoup de groupes de metal, mais je suis très ouverte, j'écoute aussi pas mal de folk, et je me suis récemment mise à écouter un peu de hip hop et de rap, à force de trainer avec des taggeurs/skateurs/rappeurs. En bref, je pense que je suis un condensé de beaucoup de cultures, et ça se voit rien qu'au nom de mon personnage : Freddie, obviously, pour Freddie Mercury ; Vincent pour Vincent Furnier, le vrai nom d'Alice Cooper, mais aussi pour le court métrage de Burton ; et Frost, pour Jonny Frost, mon personnage préféré de bande dessin, dans la BD Batman: Joker de Lee Bermejo et je sais plus trop qui ... Je ne vois pourtant pas là des références, car la référence implique qu'on s'attend à ce qu'elle soit trouvée, mais juste des noms qui sont importants pour moi, car j'ai besoin de jouer un personnage construit tant sur le physique, le psychologique que sur tout son background :p Malgré tout je vais m'arrêter là, parce que sinon je peux continuer longtemps, et je me contenterai de finir en lançant des chatons à Tepu, et en espérant que vous me mangerez pas trop, parce que je suis pas sûre d'être délicieuse :C

codage © mocerino, inspirée d'un codage d'orange (css-actif)



Dernière édition par Frederich V. Frost le Sam 10 Jan - 20:33, édité 17 fois
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Lun 10 Nov - 22:31

Place I love you
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Lun 10 Nov - 22:42

    Doux Jésus.
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Lun 10 Nov - 22:51

Il est sexy hein ? Il est sexy.
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Lun 10 Nov - 22:54

J'ai vu "J'ai tué ma Mère" et ...
Ouais. La scène avec Vive la Fête rpz meuf. Oh sinon je vais valider ton code, et on t'aime pas parce que t'es blonde ouais :c *te lance des chatons* M'enfin, je suis rousse donc je mérite autant le bûcher que toi en fait.
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Mara Duncan.
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Lun 10 Nov - 23:19

Il est sexy. Rien d'autre à dire.
A part... Fais-nous le design et le codage, esclave <3
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Lun 10 Nov - 23:41

*pleure et se traine à ses pieds en se flagellant*
oui maitre tout de suite ;_; (dobby sera un elfe libre)
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Mar 11 Nov - 0:06

*donne son keffieh* allez Dobby, tu es libre, fuis !
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Mar 11 Nov - 0:20

D'où tu m'appelles Dobby sale tepu ? wesh.
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Evangeline Imaginearium
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The purpose of life is a life of purpose ☿
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Mar 11 Nov - 11:17

J'ai juste un mot à dire : wow ** (sauf si on compte le smiley :kiwi:) J'adore. Ton style d'écriture surtout, on dirait qu'il y a une énergie qui s'en dégage, bref, c'est trop bien (je suis en train de m'emballer XD). Je suis fan. J'ai trop envie de lire la suite bril

Bon courage pour la suite ! Tu m'impressionnes déjà x)

*out*

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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Mar 11 Nov - 11:48

C'est le plus gentil et touchant compliment qu'on ai pu me faire sur les rpgs putain nurf nurf
T'inquiète pas je suis méga motivée là donc il devrait se dessiner vite mon Freddie
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Selena Duncan
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♦ The show must go on.
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Mer 12 Nov - 11:57

Bienvenue à toi et à ton beau perso I love you

Décidément, encore une L, nous dominerons le monde *^* Arts plastiques en plus *^*
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Frederich V. Frost
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Mer 12 Nov - 13:03

Héhéhé team L forever I love you Et t'as du Queen en signature, c'est bon on va bien s'entendre :=D
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Stanley A. Dyson
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Sam 29 Nov - 20:10

Du nouveau ma Tepu chérie <3 ?
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Dim 30 Nov - 21:42

Merde j'avais oublié de prévenir mais mon Word m'a lâché x.x Mais promis je me dépêche, cette préso est dans mon top urgent, avec votre design et celui d'AOC :C
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Dim 14 Déc - 1:34

Tout ça pour dire que j'ai commencé l'histoire mes chatons bril
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Stanley A. Dyson
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Dim 14 Déc - 18:37

Oh la prez, oh les images, je t'aime ma Momo °°
Ca commence bien dis moi ! ** On te laisse continuer tranquillement ne t'en fais pas <3.
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Moera M. Bates
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1Sam 20 Déc - 23:10

Bienvenue bril
*dislameufquidébarque1moisplustard*
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MessageSujet: Re: FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »    FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »  Icon_minitime1

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FREDDIE ◊ « la solitudine dei numeri primi »

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