•• Jumellea Laelia Exilis ••

feat Kirsten Dunst

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► ÂGE : 29 ans. ► RACE : Demi-humaine, demi-hybride vampyr, elfe. ► MÉTIER : Nouvelle Impératrice d'Omois ► MAGIE (couleur & puissance) :: Dorée et assez puissante. ► CAMPS : Est-ce-que vous croyez aux ragots? ► FAMILIER : Byblis, un chatrix de couleur blanc. ► MON PAYS : Omois évidemment. ► MON RANG PERSO : "舵 Ne touche pas à une racine de mes plantes 舵"

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► PHYSIQUE Le physique, le physique n'est rien qu'un instrument de torture utilisé par les médias pour faire valoir certaines jeunes filles comme parfaites en changeant au fur et à mesure les codes de la beauté pour renouveler la recherche de jeunes filles et constituer un marché qui permet de faire tourner un monde sens dessus dessous. Le physique est ce qui se voit en premier, c'est bien normal puisque les yeux n'ont pas été créés pour nous traverser de part en part jusqu'au tréfond de nous-même et découvre nos secrets cachés; enfouis à tout jamais et qu'il ne vaudrait mieux pas connaitre.
Une longue crinière dorée baignait les épaules et le dos de la dame, cachant le fond de son âme derrière des yeux bleus glacés qui ne laissaient apercevoir d'elle qu'un vide absolu soigneusement maîtrisé grâce à des années d'expérience et dissimulant un lourd passé. Un petit nez affreusement doucereux encadrait le visage tantôt fragile, tantôt dangeureux de Jumellea. Des lèvres de la couleur d'une astophèle, une peau exquise et délicate, des membres fins et longs, une jolie et gentille demoiselle au premier abord.
Lorsqu'on porte un passé bien trop lourd, tout ce qu'on demande c'est d'oublier et de paraitre normale; naturelle. Mais notre âme au fond de nous est brisée alors on l'entoure d'une barricade et le fond de nos yeux est vide. Une personne observatrice remarquerait que nos mouvements, nos attitudes et expressions du visage sont en vérité instables, calculés et peu fluides.
"Fragile" n'est pas le mot qui paraitrait le meilleur pour nous qualifier, nous les personnes sous la loi du silence. Chacun de nos mots sont prédis à l'avance par notre cerveau et peu de situations nous prennent au dépourvue. La voix douce peut-être à la fois puissante et calme, aigre et agressive, caline et mielleuse,... Nous pouvons être tout le monde et personne à la fois, nous sommes les invisibles.

► CARACTÉRE : Un jardin secret peut en cacher un autre, et derrière ses plantes exotiques sont dissimulées douleurs, souvenirs, humanité. Passer chez un psychologue reviendrait à donner son arrêt de mort. Un robot peut paraitre humain à ses côtés. Les émotions sont refoulées par le cerveau qui est placé en auto-défense et qui est terrorrisé à l'idée qu'une simple goutte de tristesse ou de joie pourrait faire s'écrouler un corps qui se maintient en vie jour après jour depuis des années. Le mal ne disparait jamais vraiment, il ronge doucement mais sûrement jusqu'à détruire inévitablement.
Pourtant, ces jeunes filles si mal ressemblent à toutes les autres car elles gardent les facultés indispensables à une société mais n'estime plus rien d'elle-même. Leur intelligence est souvent bien plus développée que la votre et tout ce qu'elles font aura forcément un intérêt quelconque à leur yeux, rien ne doit être perdu en utilité, tout doit être économisé.
Enfin, avant de devenir aussi froide que la glace, il faut d'abord passer l'étape la plus difficile, c'est-à-dire creuser profondemment et ne pas abandonner car ce serait simplement montrer qu'on est faible et cette faiblesse ne ferait que renforcer le pouvoir de l'ennemi. Alors on continue notre périple mais les plus faibles tombent dans l'alcool, la drogue ou se sucide purement et simplement. Une fois passé ce stade, on atterrit dans un monde de silence ou seul nos yeux sont le contact qui nous relient au monde extérieur. On développe son observation, plus rien ne nous échappe, chaques mensonges, regards ou mouvements est gravé au fond de son esprit et une personne gardera l'image que l'on s'est fait d'elle toute sa vie. Il nous est également très simple de replacer une personne dans un contexte social au premier regard, par sa manière de marcher, de parler et même, plutôt souvent, de s'habiller. On fait simpelment semblant de ne pas savoir car trop savoir nous excluerait de la société, de ses normes strictes et intransgressables pour nous.
Si on ne rencontre pas d'autres problèmes, nous nous remettons à parler, à "rentrer dans le moule" sans jamais vraiment en faire partit. On se socialise mais cela prend du temps comme à chaque étape. On réapprend à créer des émotions qui sont simplement copié de modèle humain proche de nous à ce moment là. Enfin, lorsqu'on a emmagasiné assez de forme d'émotion, on peut essayer de vivre normalement mais les souvenirs nous rattrappent toujours et un jour, on s'effondre, on craque. J'espère simplement que ce jour là, je serais entouré de personnes qui pourront supporter ce débordemment d'émotions cachées depuis tellement de temps que la douleur pourrait les emporter avec moi.

► HISTOIRE : Ma mère l'avait épousé parce qu'elle croyait l'aimer et l'amour n'est pas toujours juste mais je crois que malgé ce qu'il nous faisait, elle ne pouvait s'empêcher de l'aimer. C'était un hybride qu'elle avait rencontré un jour alors qu'elle vendait les récoltes sur le marché. Bien que ma mère soit la cousine de l'impératrice, elle n'a jamais voulu de traitement de faveur et elle était partie construire son rêve au royaume du Lancovit. Elle vivait de ses plantations diverses et elles étaient en plein dans la saison des Brumms ce jour-là.
Le soleil était haut, un homme avec une capuche qui lui tombait jusqu'au nez traversait le marché. Il s'arrêtait devant tous les standes jusqu'a ce qu'il arrive à elle. C'est à ce moment qu'un coup de vent balaya la place et la capuche de l'inconnu tomba sur ses épaules. Elle me racontait bien souvent qu'elle n'avait jamais vu des yeux comme les siens. Liquides, transparents, vertigineux, telles sont ses mots exacts. Elle en perdit son souffle, puis essayant de se rattrapé, elle le détailla de la tête au pieds. Une peau palote, plus que la normale, des oreilles pointus, une expression neutre, pour ma mère c'était un ange tombé du ciel, pour moi ce serait mon pire cauchemard.
Un mois plus tard, ils s'épousèrent et quelques mois après, ma mère fut enceinte de moi. C'est à partir de là que tout commençait; mon "père" fesait partit d'un trafic illégal de Bang-bang et d'armes, enfin partit... Il était le chef de la bande. Un enfant ne lui était d'aucune utilité surtout sachant que ce serait une fille. Il ne s'intéressait guère à ma mère qui l'aimait d'un amour passionné. Il l'avait laissé se débrouiller seul durant les neufs mois de grossesse et ce n'est seulement qu'à l'accouchement que celui-ci se montra. Une surprise les attendait mais ce n'est pas une surprise pour laquelle on s'attend à être heureux. Au lieu d'un enfant, elle en reçut deux mais le premier était mort né. Effondré, ma mère pleurait de toutes ses larmes tandis qu'elle tenait son deuxième bébé entre les bras comme si elle avait peur qu'il s'en aille avec sa jumelle. Le père ne chercha pas les mots réconfortant qu'un vrai mari devait dire à sa femme dans un état pareil. Il se contenta de regarder avec dégout la petite chose dans les bras de la femme puis s'en alla.
Ma mère m'éleva avec amour mais ne m'envoya pas à l'école par manque de moyen; elle ne voulait toujours pas demandé au reste de sa famille de l'aide. L'amour de sa vie réapparaissait quelques fois et restait quelques jours chez sa "femme" pour s'en aller de nouveau. Maman tenait un journal et c'est de lui que je tiens autant d'informations sur mon enfance.
Un jour alors que j'avais mes six ans passés, il revint affolé à la maison. Il espèrait qu'ici, on ne le retrouverait pas. Ce n'était pas la première fois qu'il était recherché, il avait encore eut des problèmes mais je ne l'avais jamais vu aussi effrayé. Les jours passèrent mais rien ne vint; je n'étais pas rassurée et j'avais raison. Au bout d'une semaine, alors qu'il venait de revenir d'une "ballade", plusieurs hommes rentrèrent dans notre maison et se mirent à tirer des boules de magie sur tout ce qui bougeait. Ma mère m'attrappa et me protégea contre les tirs mais cela ne la protégea pas elle. Elle s'effondra lorsque les tirs cessèrent et tandis que le lache suppliait qu'on l'épargne ma mère décèda. J'étais recroquevillée dans un coin lorsqu'ils tuèrent l'homme que je ne peux décemment pas qualifier de père.
Les hommes décidèrent que je pourrais être vendu à bon prix en tant qu'esclave. J'étais jeune, on ne me nourrissait pas beaucoup et je passais de mains en mains, de sangraves en humains, de vampyrs en elfes, jusqu'à l'âge de quinze ans où je tombais sur un "maître" un peu trop pervers. L'affaire avait été étouffé par Omois mais l'Impératrice avait engagé des hommes pour me retrouver et je ne dus endurer cet hommes que quelques semaines, ces quelques semaines qui sont gravés tout au fond de moi.
J'arrivais au palais, muette comme une tombe et je passais plusieurs mois chez un chaman qui tentait de récupérer ce qui restait de moi. Plus tard, je sus de l'Impératrice que pendant ces premiers mois, la cours avait bien jasé sur mon compte et que les ragots allaient bon train. On prétendait que j'étais une clandestine que l'Impératrice hébergeait, que j'avais une maladie grave que personne ne connaissait, que j'étais une sangrave rejetée qui détenait des informations pour le royaume, etc.
Un matin, lorsque j'entendis que la dépouille de mon père avait été retrouvé et qu'il voulait l'enterrer à côté de celle de ma mère, j'eus enfin un électro-choc. Je me levais et courrait vers l'Impératrice qui venait de rapporter tout cela au chaman, je criais et pleurais qu'elle n'avait pas le droit de faire ça, que ce n'était pas mon père, qu'il fallait l'enterré ailleurs et la laisser tranquille. Je reparlais enfin mais cela n'avait pas l'air d'étonner l'Impératrice contrairement au chaman. Elle me rpit dans ses bras malgré mes tentatives de la repousser et me chuchota doucement des mots pour me calmer.
Elle restait quelques temps auprès de moi puis elle entreprit de payer les études que je souhaiterais, de l'hébergement jusqu'au frais scolaire. Le premier problème qui se posa c'est que je n'étais jamais allée à l'école mais j'intégrais quand même l'école que je voulais. J'avais droit a des cours supplémentaire et je m'intégrais assez bien dans ma classe. Au bout de plsuieurs années, j'intégrais les services secrets d'Omois grâce à ma maitrise du camouflage mais avec facilité dut à la lettre de recommandation de mes professeurs et de l'Impératrice.
Un soir, après avoir enfin récupéré de mon ancienne vie, je me regardais dans le miroir, j'avais le teint normal, les yeux de ma mère, un presque sourire à mes lèvres et les cheveux tellement longs qu'ils se coinçaient souvent partout. J'avais débuté une nouvelle vie alors je sortis un couteau d'un des tiroirs de ma chambre puis l'approchait de mes cheveux. Ceci marquerait l'entrée totale dans une dernière étape, la vie. Une touffe de cheveux tomba sans bruit à terre.


L'histoire n'était pas finie, j'avais continué ma vie dans les services secrets, je m'etais achetée une petite maison dans Tingapour, j'avais rencontré Byblis au cours d'une mission chez les sangraves, j'avais créé mon propre jardin, en l'honneur de ma mère et grâce à une nouvelle passion qui avait fleuri en moi. La douleur était toujours présente mais plus faible, parfois elle resurgissait mais retournait d'où elle venait quelques jours plus tard. Lisbeth laissa sa place à Tara mais un malheur frappa Omois il y aquelques temps. Tara fut tué et je pensais que Lisbeth retournerait à sa palce. J'assistais à son enterrement dans un coin discret de la salle. Tout Omois était en pleurs sauf moi, cela faisiat trop longtemps que mes yeux étaient secs pour que puisse ressurgir une larme quelconque. Je ne connaissais que très peu Tara et je ne m'attendais pas à recevoir de la visite après l'enterrement. Lisbeth accompagné de plusieurs haut-conseillers arrivèrent à ma porte pour m'annoncer sollenelement que le trône m'avait été légué et que je n'avais pas d'autres choix que de le prendre. Ma nouvelle vie venait d'en prendre un coup et les ragots iraient de nouveau à bon train sur moi.

PETITES QUESTIONS...

► Que pensez-vous de la nouvelle impératrice ?
C'est moi donc j'ai envie de dire que j'aime bien.
► Que pensez-vous des Sangraves ?
Magister pourrait bouger un peu ses fesses de licorne qui mange des patchoulis parce qu'on s'ennuie sans des plans machiavéliques.
► Que pensez-vous de la tournure que va prendre le sacre ?
J'adore, il faudrait juste le continuer quoi.
► Validé par Chami, votre impérialissime majesté...

ET SINON...

► Un prénom ?
De toute façon, vous savez déjà qui je suis.
► Des passions ?
Vous; mes loulous, mes forums, la musique, les animaux, les livres, les voyages, le dessin, grapher, etc etc etc.
► Avez-vous lu tous les Tara Duncan ?
Bien sûr.
► Comment êtes-vous tombé sur le forum ?
Je le connaissais déjà donc forcément ça aide !
► Une dernière bafouille
Pour l'avatar, vous préférez Charlize Theron:

Spoiler:

ou Kirsten Dunst:

Spoiler:

ou peut-être avez vous une proposition à me faire?

Re-Bienvenue (: *Ah, en fait je sais t'es qui pour finir XD. T'en avais vite fait parlé sur ton "autre compte" :DD Blasphème, je t'avais pas reconnue hier. Comme je sers trop à rien /O/*

Spoiler:

Spoiler:

Le premier