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 You're crazy ! ▬ HYSTERIA

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Hysteria Thompson
Hysteria Thompson





Par Le Revelus :
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Moi et les autres Autremondiens:

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MessageSujet: You're crazy ! ▬ HYSTERIA   You're crazy ! ▬ HYSTERIA Icon_minitime1Jeu 4 Avr - 22:09




HYSTERIA THOMPSON
feat. Lua P

▬ Bonjour à tous, chers téléspectateurs ! Aujourd'hui nous accueillons parmi nous Hysteria !
▬ Et oui Jim, cette nouvelle recrue fraîchement débarquée de la Porte de Transfert d'Omois est on ne peut plus humaine et nous fait l'honneur de sa présence du haut de ses vingt six belles années.
▬ Et encore John, vous n'avez pas tout vu, car ayant déjà interviewé notre invité, je peux vous certifier que ce nounours a une magie de couleur mauve aubergine est d'une puissance médiocre. Il va falloir s'accrocher John ! Mais la question qui vous brûle sans doute les lèvres...
▬ … est : mais à quel camp notre lascar appartient il ? La réponse est le camp Sangrave, il appartient donc logiquement au groupe Sangrave...
▬ Mais nous ne le jugeons pas, John, bien au contraire, les autres membres de ce groupe vont l'accueillir à bras ouverts, lui et son familier ! En fait...
▬ ... Notre ami a un familier, qui se trouve être un rat, Tyler.
▬ Oh que c'est bouleversant John ! Pour finir avant de passer à la météo lancovienne, nous devrons ajouter que ce kiwi a un mot à vous dire : Validéééééééééé
▬ Quelle bonne parole Jim ! Nous l'aimons déjà !










You're fuckin' crazy, oh child


Et si on commençait par mes faiblesses ?
Allons donc. J'ai deux grandes phobies. Les bus, déjà. Oui les bus, je vous emmerde. C'est grand, c'est mortel, c'est juste une des choses les plus affreuses qu'il m'a été donné de connaître. Des gens cristallisent toutes leurs peurs sur des choses classiques comme les aiguilles ou certains animaux, moi c'est les bus. Mon père adoptif détestait profondément ces transports en commun, et je dois dire que j'ai été traumatisée le jour où j'en ai vu un renverser un pauvre chien. Donc, j'ai peur des bus. De toutes façons, j'en voyais très peu sur Terre et encore moins maintenant, donc tout va bien.
Ensuite, j'ai peur des chats. Mon Dieu, les chats. J'y suis en premier lieu allergique, mais ces animaux son stupides et méchants. En plus, il y a même des chats sans fourrure. C'est immonde. Oui, j'avais dit que " certaines personnes cristallisent leurs peurs sur des animaux ", mais moi je l'ai fait en double, voilà.

Ensuite. Disons que j'ai ... des sortes de crises. C'est incontrôlable et brusque. J'ai des capacités pour rester calme pendant un long moment, puis griller un fusible à cause d'une chose ridicule. Il n'y a absolument aucune condition pour que je sois prise d'une crise. Il y a certains facteurs qui peuvent naturellement les influencer, comme la colère, la mauvaise humeur, etc., comme les gens normaux. On me considère d'ailleurs rarement comme normale.
Pendant ces crises, je ravage tout. Quand j'étais petite, je n'hésitais pas à lancer tous les objets qui étaient à portée de main, jusqu'à ce que je sois trop épuisée pour faire quoi que ce soit. Un manque d'objets matériels proches, par contre, ne m'arrêtera pas. Il faut que je me déchaîne complètement ou je demeure incontrôlable. C'est pour ça que je ne pense pas qu'un jour je me trouverais un copain. Un type aussi hystérique que moi, ça ne ferait que me ruiner encore plus. Un mec un tant soit peu intelligent ne devrait pas me supporter. Je le concède et je le vis très bien.

Mais au fond, j'ai un coeur, même si en général, je me fous un peu de ce que les gens disent. Je peux être diplomate, polie, bien en société, je vous jure. Mais j'ai beaucoup d'idées noires et d'envies de cracher sur l'autre fille là, de lui dire ce que je pense d'elle. Parfois ça passe, parfois ça casse, tout dépend de mes crises. Je n'ai jamais eu envie de me faire soigner. Enfin, soigner ... On m'a déjà forcée à aller chez une psy. Je ruinais tous ses meubles à chaque fois, je coûtais plus cher qu'on ne payait pour les séances. Je ne souhaite pas " guérir " de cela. Ca fait partie de moi, de mon caractère, de mon vécu. M'enlever mes crises d'hystérie, c'est altérer ma personnalité toute entière.

Sinon, je tiens beaucoup à Tyler mais Tyler pas. Tyler, mon rat, mon familier, la chose. Il me prend pour une " gamine dégénérée " ( selon ses propres mots ) et il est exaspéré lorsque je m'énerve. Mais je l'aime bien, rien que parce que c'est un rat. Il m'accompagne partout rien que parce que c'est " malgré tout divertissant de te voir péter des câbles ". Sinon, on s'entend bien. Je lui ai proposé de lui trouver une copine prochainement. Si vous êtes intéressés, téléphonez au numéro vert qui va s'afficher au bas de votre écran. Merci pour cet asocial.





Tell me the story of your life

    acte I



Une gamine, assise dans un coin d'une pièce immense grouillante de mômes en tous genres, à s'appliquer sur un cahier de coloriage.
Un type s'accroupit et s'accoude sur la table basse.

« - Comment tu t'appelles ?
- On s'en fout.


Elle ne lui jette pas un regard, concentrée à colorier méthodiquement son dessin.

- J'aime pas mon nom.
- Que dirais-tu, alors, si on le changeait ?


Elle lève enfin les yeux de son ouvrage. Ses yeux brun-vert scrutent ceux du type. Il n'est de toute évidence plus tout jeune, la cinquantaine peut-être ?

- Ce serait pas mal. T'as des idées intéressantes.
- Tu trouves ? Je suis flatté.
- Comment toi, tu t'appelles ?
- Emile.
- C'est laid. T'as pas intérêt à me trouver des noms qui ressemblent à ça.


Elle semblait soudain énervée, comme au terme d'une longue dispute. Les traits de son visage se tendirent, ses doigts se crispèrent. Emile sourit.

- Je peux savoir pourquoi tu souris ?
- Parce que tu es amusante.
- J'ai rien d'amusant. Ni moi, ni ce que j'ai vécu.
- Oh, je vois qu'on a du caractère … Un peu ... hystérique, non ?
»

Elle se leva d'un geste, envoyant valdinguer la chaise sur laquelle elle était assise. Elle fixa l'homme pendant trois bonnes minutes, d'un air furieux, puis elle explosa en hurlant. Ses paroles avaient à peine quelque chose de compréhensif, le vieux n'y comprenait d'ailleurs rien, et se contentait de sourire d'un air amusé. Elle s'approcha de lui, les poings prêts à lui décocher des coups, mais elle fut stoppée dans sa course par deux bonnes femmes qui la maîtrisèrent tant bien que mal.


    acte II



Assise derrière le grand bureau de chêne, la dirigeante de l'orphelinat avisa l'homme d'un air soucieux. Alors comme ça, il voulait l'adopter ?

Après s'être fait pratiquement agresser par une des orphelines, le vieux n'avait réagit qu'en souriant. Il semblait très amusé de tout ce qu'il s'était passé à ce moment-là. Cependant, il était exceptionnel que quelqu'un accorde plus de deux minutes d'attention à ce cas-là. Il suffisait de placer un mot de travers et elle semblait sur le point de piquer une crise de colère, et elle avait déjà douze ans … Mais elle se méfiait tout de même.

« - Vous êtes sûr de votre choix ? C'est réellement une enfant difficile, je crois que vous en avez eu la démonstration …
- Ce n'est pas un problème pour moi.
- Bon. Eh bien, vous n'aurez qu'à repasser encore quelques fois, et si elle semble s'accommoder à vous, j'accepterais de vous laisser l'adopter. Cependant, je préfère garder un œil sur son cas encore après l'adoption.
- Aucun soucis.
»


Elle faillit encore une ou deux fois lui sauter à la gorge, et fut retenue de justesse à nouveau, mais l'homme ne semblait pas en démordre. A chaque venue de celui-ci, elle semblait un peu plus intimidée et avait l'air d'hésiter à s'énerver.
Un jour, elle réussit à déjouer la surveillance des femmes qui la bloquaient dans ses agressions, et se jeta sur Emile. L'homme la maîtrisa sans se faire une seule fois atteindre. La gamine ne tenta plus une seule attaque.


« - Donc, ça te plairait d'aller habiter avec monsieur Thompson ?
- Ben évidemment. Tout est mieux que de vivre ici avec les autres braillards de l'orphelinat.


La petite avait toujours eu le don d'agir comme une diva à laquelle tout était permis, quand bien même on tentait de la remettre à sa place. Elle dédaignait toutes les formes d'autorité, hormis cet homme. Pour son développement, il était donc certainement mieux que quelqu'un comme lui la prenne sous son aile et reprenne en mains son éducation qui prenait le mauvais chemin.

- Bien. Donc, on viendra vous rendre d'abord visite toutes les semaines les six premiers mois, puis nous passerons à deux durant quatre mois jusqu'à ne plus excéder une visite par mois, et enfin, après un an, si tout se passe bien, les visites ne seront plus qu'occasionnelles.
- On sait, tu l'as répété vingt mille fois, et tu jacasses comme si j'allais brûler la baraque de monsieur Thompson …
- Je t'ai déjà dit de ne pas parler aux adultes comme ça, et en particuliers à moi !
- Pourquoi en particuliers à toi ? Parce que tu es assise derrière ton bureau et que tu décides du sort de tous les morveux de l'orphelinat, je te devrais plus de respect qu'aux autres ? Limite, les femmes qui me calment quand je pique mes crises, elles méritent mieux que toi, elles au moins elles font quelque chose, alors que t'es étalée là et que tu gueules toute la journée.
- C'en est assez.


Emile prononça ces quelques mots d'un ton calme mais vibrant de menaces. La gamine se renfonça dans son siège et détourna le regard, frustrée de ne pas avoir pu déballer tout ce qu'elle souhaitait dire.
Elle avait cette autre particularité de ne vouvoyer absolument personne, adultes, enfants, chiens, tous se voyaient affublés de la deuxième personne du singulier. La seule marque de respect qu'elle semblait avoir adoptée depuis son arrivée à l'orphelinat était le " monsieur Thompson " qu'elle employait désormais. Ce cas mis à part, elle ignorait les remontrances et punitions et continuait à faire comme bon lui semblait. Lorsqu'on la punissait, elle se contentait de n'appeler personne pendant deux jours ou trois, et recommençait son manège ce délai passé.

Ce que cet homme parvenait à exercer sur elle était donc assez exceptionnel. Encore énervée par les paroles de l'enfant, la directrice se leva avec un air excédé. Elle se força à sourire à Emile et la gamine.

- Au revoir, donc. A la semaine prochaine.
- Ciao !
»


    acte III



« - Dis-moi, j'ai une question ...
- Oui ?
- Comment as-tu atterri à l'orphelinat ?


Instant de silence. Installée sur le divan avec un casse-tête chinois sur les genoux, la gamine semblait perdue dans ses pensées.

- Ce serait trop d'honneur que d'accorder tant d'importance aux évènements qui m'y ont amenée.
- Accorde-leur donc cet honneur et dis-moi.
- Non ! Je vous ai dit non, putain !


Elle sauta sur ses pieds en hurlant ces mots et fonça sur Emile, prise à nouveau d'une crise d'hystérie. Il la maîtrisa, lui maintenant la tête au sol. Elle ressemblait à un veau prit au lasso, et le spectacle était, il faut dire, assez lamentable. Elle se débattait comme un beau diable, sans faire broncher Emile qui l'observait d'un air lassé.

- Il faudrait vraiment que je t'apprenne à te battre correctement. Tu n'es pas une faiblarde, mais tu déploies toutes tes forces inutilement. Regarde, tu es déjà crevée alors que j'ai à peine eu à bouger le petit doigt.
- Évidemment ! Moi, je ne suis pas aussi grande que vous, j'ai que douze ans !
»

Il se leva et relâcha son étreinte. La petite courut se réfugier dans sa chambre en claquant toutes les portes qu'elle passait.


Deux heures plus tard, elle redescendit à nouveau dans le grand salon. Emile était assit à son bureau de travail, triant des papiers d'un air ennuyé. Il sourit en voyant la fillette blonde approcher d'un air hésitant.

« - Calmée ?

Elle ne répondit rien, et pointa du doigt les papiers qu'Emile tenait entre les mains.

- Vous travaillez pour la mafia ou quoi, avec vos dizaines de fichiers avec des noms de gens et leurs photos ?
- Si je te dis oui, qu'est-ce que tu fais ?
- J'vous dénonce, tiens.
- Ok. Après ça, on m'enferme et on te renvoie à l'orphelinat, où personne ne voudra de toi.
- Qui vous dit que personne voudra de moi ?
- Qui, jusqu'à maintenant, est venue te voir plus d'une fois ?


Elle agrippa le bord d'une table en verre et l'envoya en l'air, projetant tout ce qui était posé dessus à travers la pièce, lança tout ce qui lui tombait sous la main, et ne s'arrêta que lorsqu'elle ne put plus rien lancer du tout. Emile l'observait en souriant. Une sorte de grondement montait de la gorge de la gamine.

- Décidément, tu as vraiment une sacrée dose d'énergie à revendre. Il faut absolument que je t'apprenne à te battre correctement, tu vas faire un malheur.
- Dans quoi vous comptez m'enrôler, là ? Les jeunesses hitlériennes ?
- Jusqu'à présent, je pense ne pas t'avoir demandé grand-chose. Mais tu as du potentiel, et il serait stupide de le gaspiller. Et je vais te dire quelque chose ... Je déteste la trahison. C'est un des pires défauts qu'un être humain puisse avoir.
»

Il avait prononcé ces paroles sur le ton de la conversation, mais elle les perçut immédiatement comme une menace. Dans son respect résidait une certaine crainte.


    acte IV



Elle l'observa d'un air interdit.

« - C'est plus drôle, maintenant. On va où ?

Emile soupira. Il lui avait annoncé six mois plus tôt qu'ils allaient déménager, mais ne lui avait pas annoncé où jusqu'alors. Et maintenant, elle ne le croyait pas.

- Je te l'ai dit. Dans un autre monde.
- On n'est pas au pays de la science-fiction et j'ai dix-huit ans, quand même.
- Je te dis la vérité. C'est si dur que ça à accepter ?
- Assez, oui.
- Allez. Suis-moi.


Elle fit quelques pas prudents et ne comprit que la moitié de ce qui lui arrivait. C'était certain, ils avaient changé d'endroit. Mais était-ce réellement … un autre monde ? Ses yeux scrutaient ce nouveau lieu avec une surprise non dissimulée.

- Pourquoi tu m'as pas emmenée ici plus tôt ?
- Parce que j'ai commencé à avoir le mal du pays.
- Qu'est-ce que tu fais ici ?
- Marchand d'armes.
- Tu te fous de ma gueule ?
- Oui.


Elle émit un grognement contrarié.

- C'était pas drôle.
- Pauvre petite Hysteria …
- Petite ? J'fais presque ta taille, vieillard.


Court instant de silence.

- Il faut que je te dise quelque chose.
- Yup ?
- Je t'ai pas emmenée ici parce que j'avais le mal du pays. J'ai une maladie incurable, je sais pas quand je vais clamser, ça peut être dans cinq ans ou la semaine prochaine.


Tous les muscles du corps d'Hysteria se tendirent en même temps.

- Pourquoi tu me l'as pas dit plus tôt, on peut savoir ?
- Ca n'aurait pas été drôle, sinon.
- Ca a rien de drôle !


Elle déjoua sa garde et lui envoya un coup de poing dans la mâchoire. Il éclata de rire.

- J'ai fait exprès de te provoquer. C'était finement joué.
- Ta gueule. Et la vieille de l'orphelinat, si elle me retrouve pas, qu'est-ce qu'elle va faire ?
- Tu es majeure. Ils ne vont pas nous chercher longtemps, crois-moi. Et puis, là où on est, elle ne risque pas de nous trouver.
- Bon, bah j'ai plus de garantie que tu vas pas finalement décider de me balancer du cinquième étage après six ans de souffrances.
- Non, mais ça ne risque pas d'arriver. Alors ... Bienvenue dans ta nouvelle vie, Hysteria.
»


    acte V



Assise au bord du lit d'Emile, les yeux d'Hysteria se perdaient dans le vide.

« - Dis-moi, Hysteria … Ca ne t'a jamais ennuyée que je ne te donne jamais de vrai prénom ? Je veux dire, Hysteria, c'est plus un surnom qu'autre chose.
- Tu te rappelles, la première fois que tu m'as parlé ? Tu m'as proposé de changer mon nom. C'est à cause de ça que tu as été intéressant à mes yeux. C'est tellement mieux, un prénom choisi à cause du caractère de la personne, qu'un nom prédéfini qui voudra sûrement plus rien dire plus tard et que tu devras te tirer toute ta vie.
- Tu ne veux pas changer de nom ?
- Non. Dans les papiers, je veux m'appeler Hysteria Thompson.
- Comme tu veux. Au fait, toute la maison est à toi, maintenant.
- Sérieux ?
- Evidemment. T'es un peu comme ma fille.
- Tu deviens vraiment gâteux pour dire des trucs mielleux comme ça …
- Eh. Chante-moi un truc.
- Quoi comme truc ?


Il sourit de toutes ses dents.

- My Michelle.
- Your daddy works in porno, now that mommy's not around, she used to love her heroin but now she's underground, so you stay out late at night and you do your coke for free, drivin' your friends crazy with your life's insanity ... Well, well, well you just can't tell, well, well, well my Michelle !
»


Ils avaient l'air tellement désolés. Désolés de quoi ? Désolés de n'avoir rien pu faire contre une maladie incurable dont on savait d'avance l'issue ? C'était inutile et con, de se sentir désolés. Elle lança son poing dans l'estomac de cet homme qu'on appelait médecin et qui semblait affligé par la mort de son patient.

« - Arrête de faire cette gueule d'enterrement, tu m'fais pitié ! »

Bruits de pas de course, de nombreuses personnes qui viennent et qui tentent de la calmer. Hysteria les observa, un instant, l'air de se demander pourquoi tant d'agitation pour si peu. Elle pleura en souriant.
Tiens, comme au bon vieux temps.




Crêpe
Je jarte Antigone et je la remplace par Hysteria :kiwi:. Pour info, voilà voilà. Sinon, l'histoire est bâclée, j'arrivais pas à trouver de bonne chute, et en général j'l'ai laissée en mode ... un peu brouillon *mur* Et j'espère que les lecteurs Archive-Host fonctionneront :kiwi: *prie* Sinon, théoriquement, dans l'ordre les chansons sont : 1) Hysteria, Muse.
2) You're Crazy, Guns N' Roses.
3) She's a Rebel, Green Day.
4) Where do we go now, Freaky Age.
5) Welcome to the Jungle, Guns N' Roses.
6) Patience, Guns N' Roses.
7) My Michelle, Guns N' Roses.


Codage par Deathy, avatar par White Rabbit, icônes trouvées sur Bazzart.


Dernière édition par Hysteria Thompson le Lun 8 Avr - 21:22, édité 3 fois
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Stanley A. Dyson
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COME TOGETHER FOR LUCIFER'S SON !

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Par Le Revelus :
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MessageSujet: Re: You're crazy ! ▬ HYSTERIA   You're crazy ! ▬ HYSTERIA Icon_minitime1Ven 5 Avr - 11:31

    Oh putain, le choix des musiques est orgasmique *-*

    Tu sais ce que j'en pense, re-bienvenue Meuf <3. Je need un lien, c'est pas une question :B.
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Hysteria Thompson
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Par Le Revelus :
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MessageSujet: Re: You're crazy ! ▬ HYSTERIA   You're crazy ! ▬ HYSTERIA Icon_minitime1Lun 8 Avr - 21:23

    Caractère pourri mais terminé, Smanffson I love you.
    On s'le fait ce RP ?
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MessageSujet: Re: You're crazy ! ▬ HYSTERIA   You're crazy ! ▬ HYSTERIA Icon_minitime1

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