Par Le Revelus : Accréditation: Moi et les autres Autremondiens:
Sujet: L'incruste [libre] Dim 30 Sep - 22:05
C'est moi !
C'était super spacieux! L'appart' de sa mère dans lequel elle avait toujours vécu ne faisait même pas un huitième de la pièce, on aurait pu comparer ça à un cagibi. Le bordel qui y régnait lui plaisait assez. Quoi ? Ce n'était pas sa maison? Et bien ça n'allait pas tarder, tant que les proprios étaient assez cools. Enfin, surtout s'ils appellent pas les flics quoi. Elle posait son vieux sac dans un recoin sombre et poussiéreux. De tout façon ce ne serait pas le peu d'affaires qui lui restent qui changeraient le mode de vie de ses colocataires. Elle explorait tranquillement, marchant de pièce en pièce, faisant parfois la moue. Elle arriva dans l'un des plus grands espaces qu'elle avait vu jusqu'à présent. Il contenait un placard et plusieurs lits. Vu le nombre, ils étaient déjà nombreux à vivre ici. Une de plus ou une de moins, elle ne se ferait même pas remarquer, promis. Un des matelas était vierge de couverture et de voisin superposé, du coup, elle décida de s'étaler dessus. Comme il prenait bien la forme de son corps à cause du certaine souplesse, elle ne resta pas longtemps couché. Les ressorts grinçaient un peu sous le poids de la petite mais son rire cristallin couvrit rapidement ce bruit. Elle ne s'arrêta de sauter qu'au moment ou elle s'étala comme une crêpe par terre. pas la peine de s'inquiéter, à cette âge on ne ressent pas la même douleur qu'au vôtre. En parlant de crêpe, son ventre grogna et glouglouta comme le paon aux yeux d'or. Ça par exemple, mais elle mourrait de faim ! Elle courut rapidement jusqu'à la pièce qu'elle avait déduit être la cuisine lorsqu'elle avait visité et ouvrit le frigo. A ce moment là, il est possible qu'un léger vent passa devant son petit nez. Il n'y avait rien à part quelques canettes de bières, une chose moisie qui ne ressemblait plus à rien précisément et quelques boules de poussière dans un coin. Rien de potable à manger donc.
- Hummmm
Elle avait beaucoup de conversation, en effet. Elle sortit en trombe de la maison tout en claquant la porte, laissant une trainée violette derrière elle. Alors qu'elle se faufilait à travers la foule dense de midi, elle remarqua un éclat rouge dans une poubelle au coin d'une ruelle miteuse. Faisant demi-tour elle arriva devant la pomme à moitié pourrie qui trônait sur un tas d'ordures. Lorsqu'on commençait à vivre dans la rue, on ne faisait plus de "chichi" et les mets importés de la Terre, qui étaient jeté, étaient rares, premier arrivé, premier servit. Elle croqua goulument dans le fruit tandis que son estomac prenait un congé d'un court instant. Lorsqu'elle eut fini, il ne restait que les pépins. Elle passa une partie de l'après-midi à ses recherches mais la journée ne fut pas très fructueuse après son festin. Au bout d'un temps elle se décida à rentrer dans son nouveau chez soi. Elle retrouva facilement le chemin, les rues d'Omois, elle les connaissait presque par cœur à présent. Devant la porte, elle n'eut pas besoin de ressortir son attirail de voleuse pour l'ouvrir comme la première fois. Il y avait du bruit à l'intérieur et elle allait enfin rencontrer ses colocataires. La poignée s'abaissa et rien n'empêcha la porte de s'ouvrir. Un grand sourire aux lèvres, la petite entra sous les yeux exorbités des personnes qui se trouvaient dans le hall.
- Salut, je suis votre nouvelle colocataire, que ça vous plaise ou non. Mémo pour vous, faudrait penser à remplir les placards, il reste plus rien à manger ici.
Et elle se posa, enfin s'écrasa sans délicatesse sur le canapé qui lui tendait ses bras confortables.
Stanley A. Dyson
COME TOGETHER FOR LUCIFER'S SON !
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Sujet: Re: L'incruste [libre] Dim 7 Oct - 15:27
Les écouteurs à fond pour s’arracher les tympans, une sacoche noire négligemment tenue par une épaule qui lui tombait sur les cuisses, Stan avait encore une fois passé une journée de merde. Il commençait à en avoir juste ras le bol de passer toujours des journées merdiques, à s’en prendre plein la gueule pour un oui et un non, il en avait marre. Juste marre. Il en venait à plussoyer les Sangraves, les vénérer secrètement parce qu’au fond, il aimerait bien poser une bombe et se casser bien loin en regardant son chef d’œuvre exploser. D’un côté il trouvait cette action assez hideuse du fait que plein d’innocents crèvent aussi du coup, genre s’il était victime d’une telle chose il insulterait l’auteur de ce « crime » mentalement. Il en revint à la théorie de se dire qu’il était un « gentil », et que les « gentils » ne pensait pas que les « méchants » étaient des mecs cools. Il pressa un bouton sur son lecteur MP3, montant d’avantage le son pour le mettre au maximum, grimaçant légèrement jusqu’à s’habituer au volume. En fait, les sons forts ne lui faisait plus aucun effet, il les subissait et ne disait plus rien, ça le faisait presque rire maintenant. Il s’arrêta un moment dans un parc, regardant les gens qui passait tandis qu’il se perchait sur une barrière, les bancs étant inexistants. Il réfléchissait à ces derniers jours, avec les différentes nouvelles qu’il avait pris. Déjà Ellie était enceinte d’un visiblement connard né, Eyleen avait tourné la page à son propos et sortait avec un autre, désormais son travail lui en demandait toujours plus mais son salaire n’augmentait pas. Stan sourit lentement, après tout, dans la vie il avait bien pire, comme des gens qui crevaient la dalle, des drogués ou des nationalistes, des religieux ou des fanatiques. C’est vrai, il n’avait encore aucun de ses cas qui l’avait emmerdé. Cool.
Après avoir glander un quart d’heure à se poser des questions hautement existentielles, il descendit d’un bond de son siège improvisé et continua à déambuler dans les rues, les mains dans les poches de sa longue veste. Arrivé chez lui, il se jeta sur un des canapés lits, regardant le plafond, les yeux vides. Même s’il se disait joyeux, en ce moment son regard était constamment pensif et vide, il n’était pas triste, il réfléchissait beaucoup disait – il.
Il alluma la chaîne hifi et mit The Wild One, une chanson terrienne assez vieille du début des années 80. Il n’aimait pas la musique actuelle et restait cloîtré dans la fin des années 2000 au grand maximum, même s’il faisait souvent quelques exceptions en écoutant des groupes plus actuels. Retrouvant peu à peu le sourire, il se releva et lança sa sacoche sur le canapé lit, retira son manteau pour l’accrocher vite fait sur une chaise puis se dirigea vers le frigo. Il chercha d’abord une canette de coca ou un truc dans le genre et en fouillant, il tomba sur quelques bières « fortes » que Billie lui avait donné. « A boire ensemble » lui avait – il, soit disant que si l’un des deux était déchiré, l’autre pouvait le relever et le faire désaouler. C’était beau l’entraide entre potes, mais Stan rit faiblement et en prit trois quatre. Il voulait sentir l’ivresse de l’alcool dans ses veines, perdre le contrôle de son corps et rire pour rien, Billie lui avait dit qu’il avait tendance à être joyeux et extrêmement révélateur ivre. Le premier point lui faisait envie, l’autre il s’en fichait car il était seul. Il revint dans la pièce principale, se laissant tomber sur le canapé avant de regarder les bouteilles. Oh et puis merde, c’était pas en prenant une belle cuite que ça faisait de lui un alcoolique pur et dur . Il en décapsula une doucement et commença à boire, grimaçant sous le goût de l’alcool fort. Le brun n’était pas habitué à boire comme ça, à vrai dire il se foutait éperdument de la liqueur, mais depuis quelques jours il ressentait ce besoin de se défoncer et d’avoir la gueule de bois au réveil pour se sentir bien. Il ferma les yeux et la but d’une traite, bougeant légèrement la tête au rythme de la musique.
Ayant la pure flemme de se lever, il lança la bouteille qui se fracassa contre un mur du loft. Il s’en fichait, un colocataire nettoierait ou il le ferait à son réveil, dans son mal de tête . Déçu de ne rien sentir, il reprit une bière, la décapsulant rageusement avant de la reboire cul sec. Souriant comme un con, il la relança au même endroit que la dernière avant de se laisser tomber en arrière dans le canapé, se laissant enivrer par l’alcool qui lui montait à la tête, la chaleur qui envahissait son corps et lui faire perdre le contrôle de soi même. Ca faisait du bien. Il frémit quand il repensait à son père, en pauvre alcoolique qu’il était. Il savait au fond que ce n’était pas en buvant trois ou quatre bières qu’il était un de ses accros à la bouteille. Il reprit une canette, se voulant totalement ivre et se remit à boire, tentant plus ou moins de viser sa bouche parce que … Boire allongé c’est pas le meilleur truc à faire vous voyez ? Se redressant légèrement, à moitié bourré et renversa le reste de bière par terre, bougeant la tête en fonction du rythme de manière tout à fait exagérée sous l’alcool.
Puis une petite débarqua chez lui. Première réaction : « Nan mais qu’est – ce qu’elle fout °° ? », sauf que la réaction vint quand elle eut finit de parler.
« Mais qu’est – ce que tu fous làààà ? »
Il la détailla du regard (enfin tenta). Même dans son état, elle trouvait qu'elle était plutôt mignonne pour une gamine (dans le sens chaste du terme hein ).
« Bon … Déjàààà tu dégages de chez moi ici c’est un loft pour adultes pas pour merdeux qui savent pas où aller. Si tu veux un toit va dans les foyers, eukay ? » il prit la dernière bouteille, la regardant vaguement en essayant de lire ce qu’il y avait écrit sur l’étiquette. « Ensuite je veux pas de gosses ici, les gosses c’est chiant et ça fait que bouffer, j’ai pas envie de me taper les réunions parents profs et … Et bah tu dégages parce que tu me saoules déjà à l’avance et l’idée de me taper un gosse ça me fait franchement chier … Sinon t’es mignonne comme gamine ** »
Stan continua à la regarder, un peu étonné quand même et lui tendit la canette.
« T’en veux sinon ? A moins que tu préfères les bonbons ou les sucettes … Les jeunes de nos jours, plus le moindre goût j’vous jure ! T’aimes bien la musique ? »
Il marqua une pause et passa à un morceau des Runaways, groupe qu’il aimait pas mal. Son expression étrangement sérieuse et agacée se brisa pour laisser place à un sourire malsain puis il se laissa tomber sur le canapé, à moitié mort de rire.
« Bon caaaasse toiiiii » réussit – il à articuler entre deux rires.
Il adorait son état, même s’il était pas vraiment conscient de ce qu’il déblatait
Faith L.R. Dyson
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Sujet: Re: L'incruste [libre] Dim 7 Oct - 18:26
Manage me, I'm a mess. Turn a page, I'm a book half unread …
Stan & Faith (& KEY)
Faith avait passé la journée enfermée dans sa chambre a photoshoper, c'est - à - dire à retoucher toutes ses photos Elle avait littéralement liquidé sa réserve de batterie d'Ipod après avoir passé une préférée en boucle & en boucle … Civil war, des Guns Une chanson magnifique, oui … enfin reprenons du début Elle était rentrée vers dix heures, dix heures du matin hein, tellement tardive qu'elle était. Elle avait pas cherché à dormir. Elle s'était jetée sur un bon bouquin. Enfin plusieurs. Elle avait tenté l'épique, l'inévitable bouquin à l'eau de rose, Princess Bride. Un chef d'œuvre de la romance, si vous voulez mon avis . Mais comme vous le voulez pas ben … Très peu pour elle après cette journée (plus nuit, n'oubliez pas) fatigante. Alors elle a scruté sa bibli plus profond. Elle possèdais vraiment, vraiment pas beaucoup de livres. C'est pas qu'elle aimait pas lire — elle avais juste pas le temps. La plupart des livres qu'elle avait étaient des cadeaux d'amis, de famille, ou même de gens qu'elle connaissait pas. Bref, ceux qui n'y connaissaient rien dans ses goûts. Puis en déplaçant un vieux bouquin (Le tour du Monde en quatre - vingts jours, pour ceux qui veulent pas suivre le rp mais veulent juste quelques références littéraires à balancer à leur prof de français, leur parents ou même leur petit copain ), elle était tombée nez à nez avec son amour de sa vie d'adolescente. L'incontournâble Ipod. (mon père est entrain de faire un gâteau à la banane ça sent trop bon ** bref) Elle l'avais "feuilleté", à la recherche d'une quelconque amourette enfantine pour se donner un coup de nostalgie, & c'est là qu'elle tomba dessus. L'album. Les yeux brillants, elle s'était passée les débuts de chaques morceaux pour enfin choisir de s'arrêter sur la deuxième chanson la plus longue, mais la plus belle à son goût. D'une voix larmoyante (dans sa tête hein, elle voulais pas chanter à voix haute au cas où son frère passait là & la prenais en flag, la filmais de son Iphone —que des apples références — pour plus tard l'utiliser contre elle … ce qui serais une mauvaise idée si vous voulez mon avis ah oui non, pas d'opinion de mon côté, c'est vrai …) elle se remémorait les paroles qui avait bercées la période la plus dure de sa vie. Bon, ok, pas toujours vu que c'était un cadeau de sa mère qu'elle avait emporté avec elle même dans les coups durs de vivre à la rue, elle avait pas de quoi se payer un chargeur & donc elle devait se glisser dans les apple store's pour piquer un peu d'éléctricité Bref, maintenant elle l'avais, il était chargé à bloc & elle en avait bien besoin. Allez hop, un p'tit coup de mélancolie. Elle avait remis la chanson du début & s'était assise à son bureau, ouvrant son logiciel de retouche. Et puis au bout d'un moment, elle s'était endormie. (retour au direct *out*) Quand elle s'était réveillée, le bourdonnement avait cessé dans ses oreilles. Super, l'Ipod a tenu trois heures. Elle chercha partout son chargeur, pour enfin le retrouver enfoui, caché, oublié tel une vieille chaussette derrière son petit canapé de chambre. (elle avait aussi trouvé une cuiller à côté mais ça c'est pas important.) Sauf que, bah, le chargeur, ça faisait cinq ans peut être qu'il était là - dessous, que tout le monde s'asseyait sur lui (ou s'asseyait pas, ya plein de solutions que de s'asseoir dans ce monde dans lequel on vit … ), bref, il était loin d'être en état de marche. Elle soupira.
« STAAAAAAAAAAAAAN ! »
Bien sûr, aucune réponse se fit. Il était une heure de l'aprem & son frère était sois endormi, sois bourré. Ou sortit. Mais tout seul, voilà qui était intéressant. Pauvre petit Stan tout seul enfin, elle alla dans sa chambre pour une nouvelle quête. Elle ne le trouva pas là, heureusement en fin de compte. C'était un bordel (pire que le sien, soit, je l'admet) bordelique. Il y avait du linge sale ou propre partout, des tongs (des tongs ?!), trois vieux flacons de déo, un eye - liner, un rideau, des cheveux, des bras de barbies, un lit, un écran de télé probablement hors d'état, quelques canettes de bières, trois pots de nutella, des cartes postales, bref, c'était un bazar pas possible & on ne voyait pas un centimètre de moquette. Elle avança péniblement dans la mer de merde (haha ) en plissant le nez de temps en temps. Il y avait même du poil à gratter … elle hésita à ramasser le paquet, puis non, elle avait peur qu'il se déchire dans ses doigts, et puis surtout, elle avait autre chose à faire. Elle avait une mission. Je vous passe les détails —quoique ça puisse être intéressant non, je garde l'intimité de notre cher Stanounet — mais elle finit par trouver ce qu'elle cherchait. Oui, le chargeur de Stan. Et clairement il marchait vu qu'il était branché dans une prise cachée (elle avait même eu de mal à retrouver son chemin vers la porte après l'avoir découverte) avec la petite lumière verte qui clignotait en signe qu'on lui fournissait de l'énergie. Sauf que, clairement, il n'était pas adapté à son Ipod. Mais clairement, Stan, lui avait sa chanson préférée sur son MP3. Donc, clairement, il fallait qu'elle mette le grappin dessus. Et pour finir, clairement, Stan était entrain de l'utiliser sinon pas entrain de le charger. Elle courut hors de sa chambre (& j'admet le couteau sous la gorge qu'elle avait ressentit une vague de soulagement lorsqu'elle put respirer à nouveau) pour dévaler les escaliers, presque sans toucher le sol. Et il était là, une canette en main, l'autre explosée contre le mur, les yeux aux vagues & les lèvres serrées, complètement stone. Elle leva les yeux au ciel. Sur ses oreilles était vissé un casque clairement mis à fond & contre un coussin se dressait son MP3 clairement entrain d'être utilisé. Elle voulut lui sauter dessus & lui prendre, en prenant pour escuse qu'il pouvait clairement (ça devient lourd à la fin hein ) pas l'entendre les écouteurs mis, & qu'elle voulait simplement l'empêcher de devinir un vieux alcolo comme son père. En vrai de vrai, elle s'en fichait totalement que son frère devienne un viel alcolo ou un drogué, elle l'enverrais en désintox & le junkie se laisserais faire sans dire un mot. Puis l'impensable s'est produit. Quelqu'un a ouvert la porte . Clairement, la personne n'avait pas compris que c'était un loft privé & pas un refuge pour sans - abris, vu qu'elle a lancé de sa petite voix :
« Salut, je suis votre nouvelle colocataire, que ça vous plaise ou non. Mémo pour vous, faudrait penser à remplir les placards, il reste plus rien à manger ici. »
Comment elle pouvait savoir que y'avait rien à bouffer, d'abord ? était - elle venue plus tôt dans la journée ? Ouais, clairement elle était rentrée avant. Elle s'assit sur le canapé à côté de Stan. Clairement, elle avait pas vu la rouquine postée dans l'entrebâillement de la porte qui menait au salon. Et là, l'encore moins possible s'est produit. Stan a ouvert la bouche. (pour dire de la merde, eukay, mais on peut lui accorder le mérite de savoir toujours articuler au moins). Dès lors une odeur de renfermé, de vielle bière a rempli la pièce.
« Mais qu’est – ce que tu fous làààà ? »
La petite semblaient pas être dérangée par la puanteur de l'haleine du brun. Elle fixait la télé d'un regard menaçant. Bon, OK, ça va pas du tout là.
« Comment t'es rentrée ? — La porte était ouverte … » elle haussa les épaules.
Faith s'approcha, les sourcils froncés, irritée.
« Mais avant. »
Mais la petite était pas intéressée par la conversation. Elle aimait mieux bâiller gentiment. Oh, le petit ange. Stan semblait pas du tout aware de la présence de sa sœur.
« Bon … Déjàààà tu dégages de chez moi ici c’est un loft pour adultes pas pour merdeux qui savent pas où aller. Si tu veux un toit va dans les foyers, eukay ? » il ramassait la bouteille merdiquement pour ensuite plisser les yeux merdiquement. « Ensuite je veux pas de gosses ici, les gosses c’est chiant et ça fait que bouffer, j’ai pas envie de me taper les réunions parents profs et … Et bah tu dégages parce que tu me saoules déjà à l’avance et l’idée de me taper un gosse ça me fait franchement chier … Sinon t’es mignonne comme gamine ** »
La rouquine leva les yeux au ciel et soupira.
« Stan … »
Mais il l'écoutait pas, déjà occupé à ouvrir une énième bière.
« T’en veux sinon ? A moins que tu préfères les bonbons ou les sucettes … Les jeunes de nos jours, plus le moindre goût j’vous jure ! T’aimes bien la musique ? »
Faith aimait pas du tout les mômes, mais elle était assez raisonnable pour savoir qu'on leur donnait pas de l'alcool comme ça. Elle pris la bouteille et l'explosa au sol, puis arracha le casque des oreilles de son frère pour empocher l'MP3. Elle reconnu avec un petit rire la musique qui se faisait jouer. (Rock & Roll des Runaways, hahaha Stan )
« Tu vas m'écouter quand je te parle ! arrête de te bourrer la gueule ! Ou sinon je te confisque toute tes bière si c'est comme ça ! » elle retrouvait parfois de l'autorité sur ses supérieurs en âge
Puis, les mains sur les hanches, elle regarda la petite sévèrement.
« Bon, toi, déjà, qu'est ce que tu fout ici ? »
L'inconnue avait un sourie aux lèvres, ce genre de sourie angélique qui cache un plan machiavélique ou un sentiment de supériorité extrême Stan semblait toujours dans son monde, puisqu'il marmonnait et riait à tue tête, s'écroulant sur le canapé. Finalement, on cru comprendre ce qu'il s'était écrié presque à lui même, puis enfait ce n'était pas à lui - même puisqu'il avait lancé d'une voix bulleuse :
« Bon caaaasse toiiiii »
Faith soupira et hésita à lui mettre une bourrade, et puis non au fond, pas devant les gosses Elle rejoignis les deux enfants sur le canapé et alluma machinalement le télé. Stan continuait de rire et de marmonner ; elle finit par céder (puisque, comme disait notre cher Oscar Wilde, «Le meilleure moyen de se délivrer de la tentation, c'est d'y céder» donc on font elle ne fait rien de mal, puisque c'est approuvé par les philosophes ) et lui foutu un grand coup de coude dans les entrailles. Puis, sortant l'MP3 de sa poche, elle y brancha son casque pour lui faire jouer Estranged, sa seconde préférée.
Spoiler:
Mouais, bon, désolée je sais que c'est n'importe quoi mais j'avais trop envie, Faith quoi & Aline, pour les trois mots tu me dit si tu veux que j'enlève, c'est juste que pour faire avancer les choses quoi
Dernière édition par Faith L.R. Dyson le Mar 9 Oct - 8:01, édité 3 fois
Pétronelle H. Fox
Sopalin Okay
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Sujet: Re: L'incruste [libre] Dim 7 Oct - 18:55
Sous vêtements, poêle servant de micro à la main elle dansait et hurlait, plus qu’elle ne chantait , Ignorance à tue tête pendant que les œufs sur la gazinière commençaient à cramer. Ah elle était belle l’image de la blonde. C’est ainsi qu’elle faillit rater son coup de fil superhyperimportant venant de l’agence immobilière qu’elle avait engagé pour lui trouver une maison à Tingapour.
Céline habitait Tingapour, Céline était le père de l’alien qui lui poussait dans le ventre, elle ne savait pas encore si Céline allait être au courant mais au moins si c’était le cas elle serait à Tingapour. Enfin bref elle décrocha sa boule de cristal en éteignant la musique et faillit s’étaler sur le sol de la cuisine.
« Allôôôôôôôôôôô, Mademoiselle Foooooooooooox ? »
La voix désagréable de la femme à l’autre bout du fil fit grimacer Pétro qui déglutit péniblement et se força à prendre un ton aimable et pas une imitation de la voix de la mégère l’agent immobilier féminin.
« Oui ? C’est moi… - Ah bien… »
Elle avait un ton tellement condescendant que Pétro eut tout à coup honte d’être en sous vêtements… Comme si la meuf pouvait la voir…
« Je vous ai trouvé une maison qui devrait vous plaire. Pas trop loin du Palais mais pas trop près. Cinq chambres… Et possibilité de faire des chambres dans les combles. Avant que vous objectiez quoi que ce soit je tiens à dire que l’une des chambres peut être transformé en bureau ou bien en salle de jeu… Vous pouvez même faire les deux. Bref… Trois salles de bains. Une cuisine aménagée. Un salon salle à manger. La maison est spacieuse et possède un jardin. Elle n’est libre qu’à partir de mi-Octobre mais c’est une occasion en or ** - Awiiiiiii ? »
Voix perçante… CINQ CHAMBRES ?! TROIS SALLES DE BAINS ?! Mais elle allait s’y perdre dans cette baraque °° Elle pesa rapidement le pour et le contre et décida de la visiter quand même on ne savait jamais. Ana appuya son choix… Un jardin c’était juste le pied !
« Je… Euh… Je suis là dans une petite heure. Vous pouvez me donner l’adresse ? - Oui bien sûûûûûûûûr. »
Demi-tour d’urgence vers l’armoire. Bon alors voyons voir… Jean, tee-shirt, sweat, sa tenue préféré depuis qu’elle était enceinte ou bien tailleur, escarpins… Vu la voix condescendante de la meuf elle opta pour la seconde solution zieuta rapidement l’adresse et failli tomber une nouvelle fois (comme quoi la grossesse atteignait son équilibre légendaire…). La maison se situait, si elle avait bien repérer le truc la dernière fois, dans la même rue que le Loft de Stan. Bah tant mieux au moins y’aurait quelqu’un qu’elle connaîtrait.
Elle enfila donc ses escarpins passa son imper sur son tailleur, retint ses cheveux en un chignon négligé, prit son sac, sortit et ferma la porte. Puis elle incanta un transmitus et se dirigea directement vers les portes de transferts ou Fleurtimideauborddunruiseaulimpide attendant désespérément que quelqu’un vienne le tirer de son ennui profond..
« Bonjour, Fleur - Oh, Mademoiselle Pétronelle. Où allez vous aujourd’hui ?[/color] - A Omois. o/ - Encore ? Mais c’est la sixième fois ce mois ci ![/color] - Quand on aime on ne compte pas mon cher Fleur ! »
Après un rapide déambulage elle arriva devant la maison à visiter et s’émerveilla devant la situation de la maison. Tout à fait son style sans fioritures ni rien.
« Aaaaaaaaaaaaaaah… Mademoiselle Fox. Comment trouvez vous la maison ? - Elle est superbe ** - Ce n’est pas de cette maison que je parle. - Ah ? - C’est de celle ci ! »
Pétro se retourna pour se retrouver face à… Un taudis.
« Euh… Vous vous fichez de moi ? - Non… Mais tout est à refaire ** Comme ça cette maison sera exactement à votre image… - MAIS J’VOUS EN FOUTRAIS MOI DE MON IMAGE D8 - Calmez vous enfin… La maison est a un prix très bas. - Ca m’étonne pas D8 - Et nous avons déjà trouvé un entrepreneur qui a fait les premiers plans pour retaper la maison. - … A combien vous avez dit qu’elle était ? »
Promettant qu’elle y réfléchirait même si dans sa tête elle avait déjà les plans... Elle passa devant le Loft... S'arrêta, le regarda et puis décida de passer voir les gens. Un peu de socialisation c'est sympa aussi. Elle entra donc dans le loft dont la porte était ouverte logique Un loft par définition c'pas hyper grand... Enfin non c'pas ça... C'est qu'il y a juste pas beaucoup de pièces plutôt Sauf que voilà Pétro avait une flemme tellement monumentale que ça donna à peu près ça:
« Y'A QUELQU'UUUUUN ?! »
Croyant entendre (qui sait... Peut être l'avait-elle vraiment entendue? ) une voix elle se dirigea donc vers le salon et là... Une rouquine qu'elle n'avait (à sa connaissance ) jamais vu mais qui ressemblait fichtrement à Stan étais en train de foutre des coups de coude à ce dernier qui paraissait complètement déchiré ( et la vision de bouteille explosée contre un mur ne fit que confirmer son hypothèse.). Et en face, une gamine qui s'était étalée sur le canapé, à l'aise. Pétro en lâcha son sac de stupéfaction...
« Mécéki, elle? °° Puis s'adressant à la gamine: Météki toi? °°»
Spoiler:
Bon voilà C'est fini %)Ma couleur est toujours la même #666699
Dernière édition par Pétronelle H. Fox le Dim 14 Oct - 12:20, édité 8 fois
Billie Lewis Iero
isolated soul ▬ So gimme coffee and TV...
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Sujet: Re: L'incruste [libre] Dim 7 Oct - 21:26
WARNING ± GREEN DAY
Un beau gosse () p'ti Billie, dans la rue, se faisant chier profond vers 5-6h de l'après-midi, cherchant une occupation, décida de... Chercher une glace. Ouai, c'est pas la saison, mais osef [et pis t'façon, y a pas de saison pour se manger une bonne glace framboise/passion, NA! *Direction la sortie Lully please*.] Le jeune homme se mit donc en recherche d'un stand de glace et en trouva un assez rapidement, a son étonnement d'ailleurs. Il continua de vaguer dans les rues, cherchant une occupation quelqueconque. Il trouva. Le loft de son meilleur pote, histoire d'aller oit le faire chier un bon coup, soit de sortir entre mec. Les idées lui paraissait sympa .
Il se dirigea vers sa maison, essayant plus ou moins de se souvenir ou il créchait. L'opération était... plutôt compliquée, étant déchiré a la glace *EUKAYTUSORS* ... (en fait, il a une mémoire de poisson rouge trisomique, donc .... ). Bref. Billie erra, tel un petit chien perdu dans Omois, avant de trouver LE loft. Enfin. Mini danse de la joie autorisée . Avant de reprendre son sérieux, bien sur. Le brun entra, calment par rapport au bordel qui régnait dans le loft. WTF MODE ON. Une petite le fixait, l'air "Ooooh, un visiteur ,venu d'ailleurs **". Stan était apparament défoncé et vu l'état des bouteilles qu'il y avait par terre, il avait du en boire quelques unes. Mais attendez... C'ETAIT SES BIÈRES. Celle qu'il avait dit de les boire a deux. Un soir de déprimer. Pour rigoler... VENGEANCE. Howay, la vengeance allait arriver... Comming soon yeah . Bref.
« Tu vas m'écouter quand je te parle ! arrête de te bourrer la gueule ! Ou sinon je te confisque toute tes bière si c'est comme ça ! »
C'est quoi ce truc roux qui gueule la ? Enfin.... truc est un grand mot. Plutôt... hérison roux enragé et...Merde. C'était certainement la soeur de Stan. Il lui en avait vaguement parlé et lui avait dit qu'elle était rousse, légèrement plus grande de Stan et qu'elle avait la même bouille que lui. Ouai, c'était bien la soeur de Stan. Gloups. Pour la première fois qu'il la voyait, il avouait que c'était pas forcément supra rassurant.
« Bon, toi, déjà, qu'est ce que tu fout ici ? »
Elle parlait a la gamine. Et avait l'air fichtrement (OUUUUHlemotdevieux) énervée, et sévère. Bon, disons le clairement, totalement flippante. et Stan a côté qui s'amusait a ... a faire des bulles avec sa salive. Une jeune femme entra, blonde, plus vieille que Billie, c'était clair. Quel beau tableau, vraiment.
« Bon caaaasse toiiiii »
Il parlait a la petite. Et il se prit un coup de coude dans le bide par sa soeur. Mon dieu, sérieusement, elle lui faisait peur. Il était temps d'agir. Pour le bien de l'humanité *BAM*. Billie se bougea enfin les fesses et regarda la blonde d'un air "Maiskesketaameregardertoi?j'aiunechieuredepigeonaucoindelatronche?". Il joua avec son piercing, c'était l'énervement, puis il s'avança vers la petite et s'assit a côté d'elle.
- T'as fait quoi pour te retrouver ici toi? Nan, parce que sérieux, c'est... le bordel. Et, moi, c'est Billie au passage .
OUI. Billie parle a n'importe qui, même a un gosse de... d'une dizaine d'année. Bwarf, osef en fait. Le brun se passa une main dans les cheveux et se mit contre le dossier du fauteuil, regardant Stan, avant de lui lancer un Levitus et de lui faire faire exploser la tronche par terre, histoire qu'il se bouge.
- On dit pas bonjour a son meilleur ami? Grosse larve va. Bourré de surplus.
La rousse le regardais l'air meurtier. La tête de Billie était passé de grand sourire con a gros poker face... Gentille hérissonne, gentiiiiiiille .
Dernière édition par Billie Lewis Iero le Jeu 25 Oct - 18:19, édité 4 fois
Faith L.R. Dyson
let yourself be silently drawn by the strong pull of what you really love.
Par Le Revelus : Accréditation: Moi et les autres Autremondiens:
Sujet: Re: L'incruste [libre] Lun 8 Oct - 19:52
Nobody said it was easy, No one ever said it would be this hard
Stan Faith KEY Pétro Billie
Estranged en boucle dans les oreilles, la rouquine fixait la télé en mouvement sans se concentrer sur l'image. Stan, lui, avait l'air super intéressé par la vie de Clifford le grand chien rouge. (petit rappel mélancolique de notre enfance les gars.) C'était elle la seule adulte responsable dans cette maison ? Son frère hurlait comme un possédé, la bulle au nez, et gigotait comme un enfant autiste. (or il n'était ni enfant ni autiste. Bon, d'accord, un petit peu des deux sur les bords.) Faith était à la fois agacée et crevée, et avait un affreux mal de tête. Elle mit pause sur l'MP3 et le déposa sur la petite table à côté d'elle avant de se lever pour aller à la cuisine. Près de l'évier était posée sa plaquette d'aspirine quotidienne. Elle prit une pilule entre ses doigts et se remplit un verre d'eau. Elle avala le médoc et se dirigea vers la télé. À l'écran était un dessin représentant un espèce de bonhomme supra baraqué avec des yeux triangles et une furque bizarre en pique qui beuglait à fendre en deux l'âme d'une pierre accompagné de la douce et mélodieuse voix de Stan à qui voudrait l'entendre (ou ne voudrait pas d'ailleurs) : “KAAMÉÉÉHAAAAMÉÉÉHAAAAAA!!”. (un auuutre petit rappel moins agréable *out*) Faith soupira d'agacement avant de baisser légèrement (enfin pas légèrement) le son de la télé et de s'asseoir près de son frère. Alors que la jeune fille allait rebrancher son casque à ses oreilles, un bruit de poignée de porte se fit entendre. La rouquine tourna la tête. —trou—
La blondasse () la regardait d'un air ébahi, ses yeux passaient de Faith à Stan, et de Stan à Faith. La rouquine en conclus que les présentations n'avaient pas été faites de son côté non plus. Elle se leva et s'approcha d'elle, affichant son sourire de rencontres et de bienvenue (c'est à dire enfait, plus précisément, une moue de travers à la fois confondable —oui oui, confondable— entre une grimace de dégoût pour autrui et un trait de mépris considérable qui n'inspirait pas la sympathie ou une 'demande d'amitié' du tout. En bref, Faith n'avait pas du tout envie de paraître aimable à une étrangère qui débarque de nulle en plein milieu de son salon, et même si c'est une amie de Stan.—encore moins d'ailleurs.) et la regardait du haut de son mètre soixante-huit, enfin soixante-sept, oui, pour ceux qui me le font remarquer, on a toujours tendance à vouloir se dire plus grand, quoi c'est un réflexe, bref du haut de son mètre soixante-sept elle la regardait (ça marche dans l'autre sens aussi), et on envoie la suite.
« Mais c'est qui, elle ? °° Mais t'es qui, toi ? °° — Ben moi déjà c'est Faith, hein. (elle eût un tout petit ricanement intérieur ) La sœur bien aimée de Stan, entre autre, ajouta t - elle d'un son très sarcastique. Et elle j'en sais rien du tout. Voilà, la question se pose dans l'autre sens aussi. »
Elle attendit sagement la réponse de l'inconnue, bien qu'elle n'en était pas plus intéressée que par la météo en Arabie. —autretrou—
Elle soupira, agacée, puis regarda la jeune femme qui se tenait debout devant elle. Elle n'allai pas lui proposer une chaise ou un verre —loin de là, elle voulait seulement savoir si son frère lui avait parlé de cette étrange bonne femme. Ouais, sûrement. Mais elle ne l'avait pas écouté, pas plus que d'habitude. Mais si, enfait. Des blonde que Stan daigne apprécier, y en a pas des masses. Elle essaya de se concentrer sur ses souvenirs de conversation avec son frère. Pétronelle, la voix de la blonde accompagna les pensées de la rouquine. Cette dernière tenta de se remémorer pourquoi Stan lui aurait parlé d'elle et ce qu'il aurait dit. Pétro œillais (oui je sais ça se dit pas ça marche que en anglais mais vous voyez ce que je veux dire) la petite sans visible indifférence. Son regard détaillait avec frénésie le visage heureux de l'inconnue, qui, presque collée à Stan, regardait la télé comme le ferais une enfant de son âge : c'est à dire totalement hypnotisée et souriant bêtement. La jeune fille soupira et se dirigea une deuxième fois vers la cuisine pour sortir un paquet de bénenuts (ben & nuts yeah!) et un verre de lait pour Stan.(après réflexion … espérons qu'il vomisse pas. Ouais non, un verre de flotte c'est déjà mieux.) Elle hésita à verser de la cyanure dans ce dernier (dans les deux enfait) puis décida de décompresser simplement avec un coca. Elle apporta le plateau sur la petite table du salon, déposant son 'plat' devant chacun ; le verre d'eau pour Stan, le coca pour elle-même, et les chips au fromage entre les deux enfants. Elle ne proposa aucune boisson à l'invitée (non-invitée) blonde, si elle avait soif elle pouvait se servir elle-même ou du moins demander (et pas poliement par pitié). Comme elle ne fit aucun des deux, et resta plantée là comme un radis, ou une carotte (c'est toi la carotte merde), Faith leva les yeux au ciel et la regarda, un sourcil en l'air.
« Voudrais-tu quelque chose à boire ? — Euh ouais, je veux bien … — Ben écoute, tu descend là, —montrant la porte— au coin de la rue en bas ; t'as un café, y sont très cools, y vendent des cocas. Même des zéros (c'est une meilleure idée le sans sucre pour toi je pense). Eh, tu sais qu'y passent l'eau gratuite ? Comme ça bah, pas besoin de t'exploser le porte-monnaie. »
La blonde était perplexe. La jeune fille se retourna et alla une énième fois dans la cuisine. Pétro 0 — Faith 1. (c'est la gueeeeerre ) Elle ouvrit l'armoire pour en sortir une plaquette de coculine. Ouais, tous les médocs sont dans la cuisine, décidément cette famille, mais voyez-vous j'ai la flemme et eux aussi, de monter jusqu'a l'étage pour un pauvre suppositoire ou un vieux sachet de smecta. Après s'être reredirigée (et pas digérée) une fois encore vers son frère, elle posa la plaquette à côté de lui. Elle s'asseya ensuite entre Stan et l'individue, pris sa tête (celle de Stan) entre ses mains et le regarda droit dans les yeux.
« COMMENT TU TE SENS ? »
Le brun la regardait sans apparent intérêt, les yeux rouge et une bouche entr'ouverte, totalement autre part, ce qui voulait dire qu'il avait mal à la tête. Elle retira ses doigts de ses joues et pris un air très sérieux.
« Écoute … tu m'écoutes ? Stan ? Si ça va pas tu prend ça, montrant la petite plaquette, daccord ? Ou tu me demandes. C'est compris ouais ? C'est bien. Et tu sors pas. Tu reste ici avec —comment tu t'appelles déjà ?— si jamais tu me voies pas. Hé, comment tu t'appelles, toi, déjà ? et t'a quel âge ? » elle lui tapa gentiment l'épaule.
Elle en avait un peu ras-les-docs de jouer le rôle de la grande-sœur, et Stan lui sortait par les trous de nez, mais au fond, elle était limite attendrie devant ses réactions de gamins. Elle reprit sa place et le regarda, il fixait son verre, à moitié endormi, et bavait dedans. Elle et reprit l'MP3. Elle se croyait enfin tranquille, samedi matin quoi, elle pouvait se reposer avec sa famille mais non, il fallait qu'une troisième personne se la ramène. Décidément, ils sortait tous par ses trous de nez finalement. Elle retira le casque et regarda la porte qui s'ouvrait.
« Bon, qui, cette fois ? elle soupira presque à elle-même. — T'as fait quoi pour te retrouver ici toi? Nan, parce que sérieux, c'est... le bordel. Et, moi, c'est Billie au passage »
La rouquine ne fit même pas attention à Billie. Ouais, Billie, elle avait déjà entendu ce nom. Elle l'avait même déjà vue enfait. Billie c'était un peu comme Milhouse dans les simpsons, un gros con qui se moquait de tout et n'importe quoi, se bourrait laggle à l'alcool, les glaces et le chocolat, pas très intelligent, mais simpa au fond, mais ça elle le savais pas, bref je voudrais finir ma phrase, donc, Milhouse dans les simpsons, si on voyait Stan comme Bart. Ouais, nan, enfait … Enfin bref, donc, ça devait être un de ces pds amis avec Nick.
« On dit pas bonjour a son meilleur ami? Grosse larve va. Bourré de surplus. »
J'ten ficherais du surplus merde. Tu te croies où, t'es pas chez toi. Elle ferma les yeux et tenta de canaliser sa rage. Elle afficha un sourire plus forcé mais plus accueillant que celui qu'elle avait utilisé pour Pétro.
« Et tu es là parce que …? »
S'approchant de lui en contournant le canapé, elle se rendit compte que c'était Billie, Billie le brun, le meilleur ami de Stan et de Nick, l'ex guitariste d'un groupe terrien et celui qui devait finir dans le lit de Levy. (pas besoin d'être devin pour s'en rendre compte merde ). Elle le connaissais un peu, au fond. Il était pas si méchant.
« Je te propose rien à boire —tu sais où la cuisine. » cynique sur les bords mais presque aimable cette rouquine .
underco. (j'dois rajouter quelques petits trucs, je vous dirais quand vous pourrez rep.)
Spoiler:
Doudou, si tu veux que je change un truc, pas de problème Désolée pour l'attente j'étais chez ma mère, il me manque presque rien là, plus qu'on paragraphe et après les trous c'est des bouts de rps que j'ai écrit sur une autre feuille et que j'ai laissée chez ma mère (je gère oui). Enfin bref, si quelqu'un a un souci avec ce que j'ai écris, let me know
Jake / K.E.Y
Par Le Revelus : Accréditation: Moi et les autres Autremondiens:
Sujet: Re: L'incruste [libre] Jeu 28 Fév - 22:37
Là, vraiment, ce fut le gros bordel. La gamine qui était, à la base (oui à la base) complètement seule au monde se retrouve en compagnie d'un alien -bourré-coké-HS-mort-bientôt enterré sous son vomi-, un feu-follet rougeoyant, un truc qui à l'air plutôt sympa et qui à le prénom Billie et puis une blonde chelou parce qu'elle pose des questions bizarres. En résumé, une foutue situation trop compliqué qui a donné à peu près ça:
Je vous troll tous !
La porte s'ouvrit sur un truc, plutôt mou, qui suintait l'alcool et le renfermé à des kilomètres et heureusement pour sa nouvelle maison, ça n'avait pas l'impression d’imprégner les murs.
« Mais qu’est – ce que tu fous làààà ? »
Elle, bah, elle... Tout à coup elle savait plus trop... Ah mais si bien sûr, le faire chier. Lui, ses potes, sa famille, ses colocs, bref la totale quoi .
« Comment t'es rentrée ? » C'est quoi exactement ce truc, oui c'était la première chose qui lui était passée par la tête quand elle l'avait vu. Orange, plutôt mignonne mais elle avait l'air d'une gamine mal éduquée qui en avait strictement rien à foutre de l’alcoolo qui se trouvait devant elle, même si, par plusieurs subterfuges bien maniés, elle voulait faire croire qu'elle tenait à sa santé.
- La porte était ouverte …
K.E.Y = 1, le feu-follet = 0. Plus sérieusement parlant, elle venait squatter son appartement et avait bien la ferme intention d'y rester autant de temps qu'elle le voudrait. Après faut pas toujours croire au père-Nowel hein, si tu crois que cette gamine va te le dire tu te mets le doigt dans l’œil jusqu'au coude.
« Mais avant. » « Bon … Déjàààà tu dégages de chez moi ici c’est un loft pour adultes pas pour merdeux qui savent pas où aller. Si tu veux un toit va dans les foyers, eukay ? Ensuite je veux pas de gosses ici, les gosses c’est chiant et ça fait que bouffer, j’ai pas envie de me taper les réunions parents profs et … Et bah tu dégages parce que tu me saoules déjà à l’avance et l’idée de me taper un gosse ça me fait franchement chier … Sinon t’es mignonne comme gamine ** »
Ouais, définitivement, elle l'aimait bien ce truc mou, en plus il en avait rien à faire de l'agaçante abeille rousse qui lui tournait autour. Elle avouait que c'était plutôt cool. Et puis, où est-ce-qu'il voyait une gosse l'autre ? Une hallucination sûrement. En plus ça avait empêcher qu'on la questionne plus sur sa présence... Elle sourit et s'enfonça un peu plus dans SON canapé.
« Stan … »
Elle qui pensait qu'on lui avait donné un prénom très moche, et bien non, il existait pire.
« T’en veux sinon ? A moins que tu préfères les bonbons ou les sucettes … Les jeunes de nos jours, plus le moindre goût j’vous jure ! T’aimes bien la musique ? »
La musique ? Quelle musique ? Ah ce truc là ! Ouais, ça va... Un peu trop fort pour ses pauvres oreilles mais ça ne la dérangeait pas plus que ça. Par contre, sérieusement, c'était du gachis de jeter les bouteilles comme ça. Okay elle était jeune, elle le savait, en plus, la bière c'est pas super génial, il reste que ce n'est pas une raison de dégueulasser le sol comme ça. En tout cas, c'est pas elle qui nettoierait.
« Tu vas m'écouter quand je te parle ! arrête de te bourrer la gueule ! Ou sinon je te confisque toute tes bière si c'est comme ça ! » - Je crois qu'il en a rien à faire, troll face, pense à passer le balais... « Bon, toi, déjà, qu'est ce que tu fous ici ? »
K.E.Y lui fit son plus beau sourire puis ignora purement et simplement sa question. Elle avait beau prendre des airs de miss-je-sais-tout-et-tout-mieux-que-personne, elle ne lui faisait pas peur. Entre les animaux qui rodaient le soir dans Omois, les flics ou les mecs qui voulaient lui voler sa bouffe, c'était du gâteau son petit numéro.
C'est à peu près à partir de l'entrée de la blonde qu'elle perdit le fil des diverses conversations qui se succédèrent.
« Ben moi déjà c'est Faith, hein. La sœur bien aimée de Stan, entre autre. Et elle j'en sais rien du tout. Voilà, la question se pose dans l'autre sens aussi. »
Faith... Tous ses colocs avaient des problèmes de prénom... Comme elle ! Ils allaient bien s'entendre et puis elle avait même pas pensé à appeler les flics donc, bon, Kat' décida de lui passer toutes ses questions sur elle-même à la trappe. N'était-elle pas bonne et gentille ?
« Pétronelle... »
Ouh duuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuur ! Tout à coup, toute l'animosité que la petite avait contre la blonde disparut et elle ressentit presque de la compassion pour cette pauvre jeune femme qui trainait un si... Beau prénom... La blonde avait du remarquer ses soudains yeux brillants et l'observait telle une alien.
« COMMENT TU TE SENS ? »
Lui crier dans les oreilles ne lui fera rien de bon, pensa la petite. Et puis là, c'est le drame. Après la biche ratiboisée (Stan). Après la grand-mère acharnée (Faith). Après la blonde qui lui faisait pitié (Pétronelle). Voici... Billie.
« T'as fait quoi pour te retrouver ici toi? Nan, parce que sérieux, c'est... le bordel. Et, moi, c'est Billie au passage »
La petite le trouva tout de suite à son goût, un peu comme un grand frère, et décida qu'elle pourrait partager SON canapé avec lui.
- Appelle moi Key, ça suffira, lui dit-elle en lui faisant un joli sourire sincère. « On dit pas bonjour a son meilleur ami? Grosse larve va. Bourré de surplus »
Visiblement, non. La larve paraissait en état de combustion spontanée du à l'alcool. C'était fort amusant à regarder, il l'avait mérité après tout. K.E.Y avait de tout façon l'habitude des alcooliques, après sa mère, Stan ne ferait pas le poids. La rouquine n'avait pas l'air très heureuse de voir son "big brother" (ouais, la petite adopte très vite les gens).
« Et tu es là parce que …? »
Parce qu'il était là... Et puis c'est tout ! En quoi ça la regarde ? Un bêlement attira son attention vers la poche de son gilet. Elle ouvrit de grands yeux en se souvenant de son familier qui s'y trouvait et qu'elle l'écrasait dans cette position. Elle le sortit avec délicatesse de sa poche et le déminiaturisa. Une fois fait, elle posa le bébé mouton sur les genoux de Billie, un sourire angélique sur le visage. Puis, alors qu'elle tournait la tête, elle remarqua la tête du bourré. Ses yeux reflétaient un éclat pervers qui ne lui disait rien de bon.
- Toi, dit-elle en le pointant du doigt, tu touches à Sheep, je fais du ragout de tes yeux et je les bouffe...
Dernière édition par Jake / K.E.Y / Jewels le Ven 1 Mar - 11:29, édité 7 fois
Evangeline Imaginearium
The purpose of life is a life of purpose ☿
Par Le Revelus : Accréditation: Moi et les autres Autremondiens:
Sujet: Re: L'incruste [libre] Ven 1 Mar - 11:03
Omois. Le grand empire d’Autremonde, dirigé d’une main de fer. Les Omoisiens. Tous très bien habillés, chacun dans leur style. Pressés mais calmes. Sauf en cas d’attaque mais c’était pas pareil, ça. Alors, bordel, où est-ce qu’elle était tombée ? Pas au milieu d’une réunion en tout cas, c’était certain.
Evangeline était partie courir, comme chaque matin. Peu importe où elle se trouvait, elle emportait toujours dans sa valise un jogging, ses baskets usées et sa casquette. Cela faisait maintenant une petite heure qu’elle trottinait. Ses vêtements étaient, certes, informes, mais au moins, ils lui permettaient d’appréhender le froid qui lui aurait assurément gelé ses mains si elles n’avaient pas mis ses moufles rembourrées. Alors, la classe et le style, avoir le swagg, comme on dit sur Terre, elle s’en contrefichait.
Sa bouteille d’eau à la main, elle s’arrêta sur le côté pour boire un peu avant de reprendre sa course. D’où elle était, elle pouvait voir la fontaine de la place. Derrière elle, des immeubles. Beaucoup d’immeubles. Certains étaient bien plus beaux que d’autres. Deux ou trois semblaient être habités par la crème des Omoisiens tandis que ceux qui se trouvaient parallèlement pouvaient être proches de la destruction immobilière.
S’octroyant une pause plus longue, la jeune femme avança vers le lotissement. Du bruit s’échappa d’un des immeubles. Les sens aux aguets, elle fut surprise d’attendre des paroles au fur et à mesure qu’elle s’avançait. Elle parvint devint un appartement après être montée aux escaliers. Elle n’entendait que des paroles entrecoupées par d’autres. Une voix d’homme. Non, deux. Une fille. Non. Deux. Trois. Une plus jeune. Ca criait là-dedans. Et ça sentait bizarre. Evangeline renifla. Ah non, c’était juste elle qui sentait la transpiration.
Les voix participaient à une conversation pour le moins étrange. Elle avait l’oreille collée contre la porte en métal. Très classe quoi. - « Bon, toi, déjà, qu'est-ce que tu fout ici ? » - Bon caaaasse toiiiii - Je crois qu'il en a rien à faire, pense à passer le balais... - Météki toi? °° - Grosse larve va. Bourré de surplus.
Bon. Il était temps de faire son entrée. Elle toqua trois fois contre la porte mais personne ne l’entendit, du moins, personne ne vint lui ouvrir. - Bonjour ! Y a l’air d’avoir de l’ambiance, alors je me suis dit que j’allais venir faire un petit tour
Elle regarda les cinq personnes qui se trouvaient déjà dans l’appartement. Alors, il y en avait un qui semblait pas tout à fait sobre, vu sa bouteille à la main. Aaaaaaaaaaaaah, c’était lui la larve bourrée. Une petite fille, toute mignonne, avec des pommettes à croquer sur le canapé. Une très belle femme blonde se trouvait là également et semblait proche de la crise d’hystérie. Pas bon pour les femmes enceintes ça. Son ventre proéminent paraissait demander à Evangeline de venir poser sa tête contre. Une rousse à la voix désagréable parlait à l’ivre, tout comme un autre homme. Elle entendit tout le monde se présenter à la petite fille, qui s’appelait Key. Le brun c’était Stan, à côté, Faith. L’autre jeune homme, Billie et enfin la femme enceinte, Pétronelle.
- Bon, c’est très sympa chez vous, dit-elle en jetant un regard à la pièce. Puis, en se dirigeant vers la blonde : Comme vous êtes sublime, chère inconnue. Je peux toucher votre ventre ?
Sans attendre sa réponse, elle s’agenouilla et posa tendrement sa main puis son oreille sur son ventre.
- Oh ! ** Asseyez-vous, il n’est pas bon pour vous de rester debout. Oh ! ** Décidément, c’est vraiment cool chez vous ! Il est à qui le petit mouton ? Qu’est-ce qu’il est choupinou…
Voyant le regard meurtrier de la petite fille posé sur le mouton, elle en déduisit que c’était là le sien et qu’il valait mieux éviter de le toucher si l’on tenait un tant soit peu à sa vie.
- Bon, ben… Je vais me doucher. Au fait, je m’appelle Adam.
Evangeline était une vraie squatteuse dans l’âme. Elle se balada un peu dans l’appartement et ouvrit successivement toutes les portes jusqu’à ce qu’elle trouve la salle de bains. Elle soupira d’aise sous la douche. Elle ne dormait jamais à l’hôtel quand elle était en déplacement parce que c’était trop cher. Il lui arrivait donc de dormir dans la rue mais elle parvenait parfois à trouver où loger chez des gens formidables. Elle coupa l’eau et sortit de la douche. Elle ne trouva qu’une serviette brune. Elle sécha ses cheveux dedans puis enveloppa son corps à l’intérieur. Comme par hasard elle n’avait pas prévu de quoi se changer. Elle s’échappa donc comme ça de la petite pièce.
- Quelqu’un aurait des habits en plus ?
Evangeline dans toute sa splendeur.
- Au fait, je peux rester ici deux jours ? Je suis du Lancovit en fait. En contrepartie, je vous fais la cuisine et des petits gâteaux.
Bref, Evangeline est chiante.
Spoiler:
Un peu nul mais j'avais envie de répondre Ma couleur c'est cornflowerblue
Billie Lewis Iero
isolated soul ▬ So gimme coffee and TV...
Par Le Revelus : Accréditation: Moi et les autres Autremondiens:
Comment pouvait-on définir cette situation ? Bordel ? Nan, c'est pas assez fort. Anarchie ? Un chouïa pas assez. Débarquation de gens chez une personne bourrée doublée d'un conflit de caractères de merdes plus une femme enceinte qui comprend rien a sa life et qui va limite se faire violer par une larve bourrée, légèrement pédophile et zoophile sur les bords ? Mais c'est parfait ça Oh et, n'oublions pas le hérisson roux qui s'enflamme et qui a tellement un caractère de merde qu'on dirait un âne doublé d'une mule et d'une tortue dont on vient de dérober la laitue, comme dans Boule et Bill vous savez? Caroline, oui, c'est ça (Merci Mymy ). Et aussi d'une adorable petite trolleuse qu'il adorait déjà, et qu'on devait appeler KEY. Tiens, KEY en français ça veut dire Clef (PUTAIN MERCI ANAÏS), mais que voulait donc dire ce pseudonyme étrange. Merde quoi, c'est comme si on appelait Billie B.L.I quoi. Ou F.A.I. Ça rime absolument a rien. Mais pourquoi KEY ? C'était ses initiales peut être... Comme quoi... Kaya Emily Yelena... Nan, pas possible, Yelena faisait trop penser à sa sœur. La petite KEY ne pouvait pas être comme sa sœur, cette espèce de chose immonde, sordide, perverse et vile. Mais il l'aimait bien au fond, sa Helena. Même si elle était plus qu'horrible avec Billie et qu'elle lui faisait bouffer du carrelage, et des chaises, et des cercueils. D’ailleurs, c’est pas mauvais les cercueils, a par quand on bouffe les poignets en argent massif bien froid et qui vous arrache la moitié du dentier . D’ailleurs, saviez-vous que Billie a un bout de dent en moins a cause de sa sœur? Vous vous en foutez ? Ah. DONC. Donc Billie c’était retrouvé avec une petite KEY a côté de lui, en train de regarder son meilleur pote complètement mort, dans un état larvesque assez puissant a cause de quelques bières. Eh dire que Billie tombait avec celles-là à partir de 7 ou 8, Stan tombait raide déchiré a 3 ou 4. Qu’il était mignon avec sa non résistance à l’alcool :’D. Un tout petit bêlement atteint les oreilles de Billie. Un … mouton ? Ici ? Mais pourquoi ? A moins que Stan soit zoophile, il ne savait pas .o. En fait, il comprit rapidement quand il reçut un bébé mouton sur les genoux. Tout blanc, tout mignon, en train de se blottir contre le ventre de Billie, mettant sa tête sur ses bras qui était croisés, fermant les yeux. Il faillit mourir d’adorabilité. Cette petite boule de laine blanche était affreusement mignonne *w*. Et cette boule de laine avait aussi les yeux dorés. C’était donc le familier de KEY. Car Stan n’en avait pas encore, et il ne pensait pas que Faith se trimbale un mouton comme familier. Et, il vit le sourire adorable de la petite brune juste en face de lui, qui lui fit comprendre que c’était SON familier, et vu le ton ultra menaçant (elle arrivait à faire à moitié peur a Billie. Je rappelle que Billie est un Vampyr et qu’il a environ 190 ans hein.)envers Stan, il avait pas intérêt à faire ressortir ses envies Zoophiles, sinon, il allait se manger un Home Run a coup de casserole dans la tronche *petite musique épic de stade de Base ball* Et d’un coup, une… homme (c’est fait exprès ) entra dans la maison, faisant hausser un sourcil. Squateuse.
« Bonjour ! Y a l’air d’avoir de l’ambiance, alors je me suis dit que j’allais venir faire un petit tour - Eh bah tranquille, plus on est de fous plus on rit 8D. »
Billie détourna la tête et recommença a caresser le ventre du mouton qui était les quatre fer en l’air, bêlant assez mélodieusement, bougeant ses petites pattes fines en rythme avec la musique qui était maintenant un fond sonore. Le Vampyr sourit et regarda tout le petit monde d’un air assez Whatthefuckien, parce que le tableau était tellement beau. D’ailleurs, il pourrait bien le dessiner, la maintenant, mais son carnet était assez loin, et il avait la flemme de le chercher. Ou sinon, il pouvait lancer un
« Bon, c’est très sympa chez vous, dit-la … chose mi femme mi-homme en jetant un regard à la pièce. Puis, en se dirigeant vers la blonde : Comme vous êtes sublime, chère inconnue. Je peux toucher votre ventre ?»
Sans attendre sa réponse, elle s’agenouilla et posa tendrement sa main puis son oreille sur son ventre. C’était mi attendrissant, mi inquiétant. Nan mais sérieux, vous voyez quelqu’un qui débarque comme ça chez vous et qui écoute le ventre de la femme enceinte sans lui demander son avis… Flippant.
« Oh ! ** Asseyez-vous, il n’est pas bon pour vous de rester debout. Oh ! ** Décidément, c’est vraiment cool chez vous ! Il est à qui le petit mouton ? Qu’est-ce qu’il est choupinou… »
La jeune femme (puisque décidément, elle avait des courbes féminines) regarda la boule de laine qui était sur les genoux de Billie pendant quelques temps avant de détourner les yeux, voyant aussi le regard de killeuse de KEY qui avait pas l’air contente apparemment 8D
« Bon, ben… Je vais me doucher. Au fait, je m’appelle Adam. »
Adam. La blague, c’était une fille \o/. Et Billie l’avait remarqué. Elle avait des formes, certes bien camouflés, mais des formes. Et des traits doux, comme les filles. Quoi que lui aussi, il avait des traits tout doux. Mais lui c’était un Vampyr. C’était pas pareil . Bref. La petite KEY était toujours levée, en position de défense devant Billie qui avait toujours Sheep sur les genoux, lui gratouillant le ventre, avant d’entendre l’autre Hermaphrodite beugler qu’elle avait rien a se mettre sur le dos. Ah les Clochards ici. Le jeune homme redonna Sheep a KEY en lui souriant, avant de déposer un petit bisou sur sa tête, montant les escaliers pour aller donner quelques vêtements de Stan a « Adam ». Il lui tendit les quelques habits pleins de chaines/trous/clous et sourit
« C’est peut-être un peu trop petit, mais c’est pas grave, on verra tes formes »
Il redescendit de la mezzanine, un sourire con aux lèvres, comme a son habitude, venant se remettre sur le canapé avec KEY, la prenant sur ses genoux en mettant sa tête sur son dos . Cute mode actived.
Spoiler:
Flemme de mettre les couleurs
Stanley A. Dyson
COME TOGETHER FOR LUCIFER'S SON !
Par Le Revelus : Accréditation: Moi et les autres Autremondiens:
Autremonde est d’une logique terrible. Quand quelqu’un est en train de mourir sous son ivresse, il y a la moitié de vos voisins qui arrivent chez vous. Vous m’expliquez le truc deux minutes ? En quelques minutes, le loft accueillit quelques nouveaux arrivants pour, au total, abriter 6 personnes. Merci les gens. D’une main tremblante, Stan attrapa un cachet et le mit dans un verre d’eau, le regardant se dissoudre d’un air ahuri. « Y'A QUELQU'UUUUUN ?! - NAAAAAAN Y A PERSOOOOONNE. » hurla – t – il.
Bonjour Pétronelle. Enchanté. D’ailleurs qu’est – ce qu’elle venait foutre ici ? Allez savoir, pour l’instant ils étaient 3 dans le loft. A ce moment là, Stan avait l’impression d’avoir un gong dans la tête, fixant la télé d’un air fatigué. Faut pas croire, l’alcool ça crève. Officiellement, il ne comprenait plus rien, donc comme il se sentait bête, il riait pour rien. Bon dieu que c’était dur de pas savoir où on était.
« Appelle moi Key, ça suffira - On dit pas bonjour a son meilleur ami? Grosse larve va. Bourré de surplus. »
Stan leva la tête et un sourire d’illuminé apparut sur ses lèvres. BIIILLIIIIE. Ca, c’était sa pensée.
« MA PETITE SALOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOPE *^* »
Ca. C’était ce qu’il avait balancé. Il se mit à genoux sur le canapé pour aller vers lui mais se cassa la gueule sur Pétronelle. Bonjour Pétronelle. Merci de servir de canapé. Il se rassit à côté d’elle et regarda la télé d’un air passionné. Il revint sur le prénom de … Key ? La fille s’appelle vraiment clef ? Mais … Clef … Serrure … AHAHAH PAS DROLE. Il s’abstint de tout commentaire, ayant quand même un minimum de libre arbitre, étant bourré. Sa tête continuait de tourner, il avait juste de s’allonger par terre et ne plus bouger, sauf qu’entre le canapé et le sol, il y avait une table, et s’allonger sur une table en verre c’est pas terrible, ni super agréable.
« Bonjour ! Y a l’air d’avoir de l’ambiance, alors je me suis dit que j’allais venir faire un petit tour - Eh bah tranquille, plus on est de fous plus on rit 8D. »
Sauf que dans son état, Stan entendit quelque chose. De nettement différent.
« Plus on est de fous moins y a de riz … ? MAIS T’ES RACISTE DES SOMALIENS ! »
Il se recalma, regardant le mouton. KEY lui balança une phrase, mais dans son état il préféra l’ignorer et regarder l’animal. Anecdote : Stan bouclait à l’humidité (pas ma faute si Beej boucle, merde è_é), donc les moutons … Lui … Le fait qu’il soit bourré … Le premier qui le traite de zoophile, c’est plus de l’inceste si vous voyez ce que je veux dire.
« Wesh mon frère, bien ou bien *^* ? »
Stan commença à jouer avec le mouton, genre essayer de faire des checks avec les pattes du mouton qui semblait … Pas trop rassuré, pour le coup. Il détailla ensuite le (la) dénommé(e) Adam. Adam aux traits féminins, aux allures féminines et à la voix féminine. Sacré Adam je vous jure. Le fait d’avoir un mec bourré, une sœur qui faisait semblant de ne pas s’intéresser à son frère mais qui flippait à fond de le voir dans cet état, le meilleur ami qui s’incruste, une femme enceinte qui arrive, une fille qui s’appelle Adam, une gamine qui s’appelle KEY et un bébé mouton sur la table qui tapait des sabots, ça n’avait pas l’air d’inquiéter Stan du tout. Pour le coup, la situation faisait penser à un début d’Harlem Shake. Il ne manquait plus que des tarés qui bougent dans tous les sens avec des masques de chevaux sur la tête et c’était réglé.
Billie revint avec « Adam », puis Stan le regarda comme un aveugle qui découvre le monde. Il prit son keffieh (marron, avec un trellis ça gère) en lui tendant d’un air effaré.
« Cours Dobby ! Cours ! TU ES LIBRE MAINTENANT ! VOLE DE TES PROPRES AILES ! »
Il prit élan sur l’accoudoir du canapé pour le lancer mais se ramassa magiquement par terre, ne gémissant même pas de douleur. Oh, il s’en foutait bien après tout. Il s’allongea sur le dos, regardant le plafond. Il ferma un œil, concentré, avant de regarder Pétronelle d’un air sceptique.
« … Vous avez un gros ventre … Vous avez mangé votre famille au petit déj ? » dit – il d’un air sérieux et calme.
Curieux, il s’approcha et resauta sur le canapé, ayant plus l’impression d’être sur une barque sur une mer déchainée qu’une causeuse. Il regarda le ventre de la femme enceinte et colla son oreille contre.
« Wouhou, y a quelquuuuu’un ? »
Être bourré au point où il est, c’est bien, déjà les moustiques peuvent pas vous piquer sous peine de mourir d’un coma éthylique, puis vous pouvez balancer toutes les vacheries que vous voulez, les gens s’en foutent plus ou moins.
Spoiler:
C'est nul, mais jouer un bourré c'est super dur, de fait :B
Moera M. Bates
Sujet: Re: L'incruste [libre] Lun 25 Mar - 19:35
Moera regardait sa boîte de céréale avec un désespoir évident... Aujourd’hui comme chaque matin et ceux depuis que tous ces gens squattaient le... Le Squat... A chaque fois qu’elle en achetait une neuve elle pouvait être sûre qu’elle n’en aurait plus le lendemain matin... Or Moera sans chocopops c’est comme.... Comme le mec de la pub Ricoré sans sa ricoré Jetant la boîte de céréales à la poubelle elle partit s’habiller en réfléchissant... Le supermarché était à 10 minutes à pied... Le loft à un peu moins... Certes le matin elle n’aimait pas trop parler... Mais ce serait toujours mieux que rien...
S’armant de son portable elle sortit habillée d’un jean et d’un sweat informe et prit donc la direction du loft. Le fait est que pour la non-sociabilisation matinale Moera avait mal choisit son jour et c’est avec une tête de six pieds de long qu’elle arriva dans un Loft bourré à craquer de gens qu’elle connaissait... Oupas, d'ailleurs. Une gamine répondant au nom de KEY (d'après ce qu'elle avait pu comprendre...)venait d’arriver. Bref cette appart' c'était le dawa... Elle s'apprêtait à se barrer discrètement mais partir discrètement quand on est 15 dans un appart qui est un loft (je le rappelle à toutes fins utiles) bah.... C'pas facile, facile. Aussi elle se dirigea vers la cuisine, fouilla dans les placards, en sortit un paquet de céréales et commença à bouffer en revenant vers le salon. Puis... Puisque les présentations paraissaient indispensables, elle s'assit à côté d'une blonde... Répondant au doux nom de Pétronelle, leva la main et parla au-dessus du brouhaha:
"Salut, Moera, ravie de vous rencontrer. Je suis venue bouffer... Et vous? -Bah... J'suis venue pour passer faire 'coucou' mais j'crois que... C'tait pas vraiment le moment en fait..."
La brunette eut un sourire compatissant. Bienvenue au club blondasse. Ce fut alors que Stan se ramassa magistralement par terre et qu'il fixa ses yeux vitreux sur Pétronelle. Comment vous dire que cette dernière à ce moment-là avait légèrement envie de frapper quelqu'un? Bon déjà elle avait faim, ce qui quand on est enceinte n'est pas terrible pour le moral, ensuite elle était à court de caféine, ordre du médecin, ce qui sur Pétro se reflétait par de violents sautes d'humeur, conjugué aux hormones qui se bousculaient dans son organisme ça donnait parfois des cataclysmes. Moera, fine psychologue l'avait ressenti dès qu'elle s'était assise à côté de la blonde. Cette journée allait être fort intéressante finalement...
« … Vous avez un gros ventre … Vous avez mangé votre famille au petit déj ? »
La petite brune laissa échapper un rire étouffé. Pauvre fille... Elle la plaignait. Surtout que ça ne se voyait pas tellement que ça... Enfin je veux dire. C'est sûr que ça se voyait un peu mais la blonde n'en était qu'à trois mois alors bon... BREF Pétro tiqua. Elle souleva un sourcil blond parfaitement dessiné et plissa un œil bleu au maquillage sophistiqué. Style: 'Keument? Tu continues c'est ma main dans ta tronche, enfoiré D8'. Mais loin de s'en inquiéter le nain fit quelque chose à laquelle personne ne s'attendait... Ou du moins à laquelle ne s'attendait ni Pétro, ni Mo Il colla son oreille au ventre de la blonde et...
« Wouhou, y a quelquuuuu’un ? »
Ce fut alors que le rire pas du tout sophistiqué de Mo, ce qui détonnait carrément avec son joli minois , retentit dans la pièce et prise d'un fou rire elle s'allongea sur l'accoudoir en riant comme une grosse débile. Pétro elle, la mine complètement atterré se laissa faire avant de retomber sur terre. Et de balancer une gifle dans la tronche de Stan puis, dans un deuxième temps, de se lever d'un bond, laissant le nain choir comme une pauvre loque à terre.
« BAWAI CHUI ENCEINTE ET ALORS D8 »
Déclaration qui tua les conversations et fit un grand silence dans la salle pendant un temps qui parut infiniment long à la blonde mais qui ne fut que très court.
« Sérieusement °° C'trop koul ** C'qui le père? »
Les conversations avaient repris mais Moera avait bien l'intention de tout savoir sur la blonde avant la fin de l'heure... Et puis de toute façon elle ne serait sans doute pas la seule à lui demander des précisions... Du moins elle l'espérait parce que sinon elle aurait fait légèrement tarte.... BREF ! Donc Moera attendait patiemment la réponse de Pétro qui elle, attendait impatiemment que quelqu’un se vautre de nouveau histoire de passer à travers les explications… Parce que sérieusement si tout le monde apprenait qu’elle était enceinte de Céline Duval ça risquait de faire le tour de la ville ou du moins du quartier en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire…
Spoiler:
La couleur de Moera est lightskyblue et celle de Pétro toujours la même
Faith L.R. Dyson
let yourself be silently drawn by the strong pull of what you really love.
Par Le Revelus : Accréditation: Moi et les autres Autremondiens:
Sujet: Re: L'incruste [libre] Dim 26 Mai - 18:50
Nobody said it was easy, No one ever said it would be this hard
Stan Faith KEY Pétro Billie
La famille au grand complet. Yeah. Pas besoin de vous dire qui joue qui. Un magnifique desin composant une réunion merdique de gens merdiques. Une sorte de dîner de cons si vous voyez le genre. Classe. Dommage que la "grand-mère rousse feu-follet à la voix désagréable et à qui il ne faut pas prendre la laitue" ne soit pas d'accord avec la surpopulation gens connus ou inconnus dans SON loft. Bon avouons, sept personnes dans un appart de 14m², ça peut aller, on a vu pire. Mais allez mettre sept Omoisiens surexcités ont un porte encore des couches (AHAHA JE NE DIRAI PAS LEQUEL) plus un saboteux plus bouclé que Stan dans le loft de deux sortceliers pas au point encore enfants sur les bords, c'est pas facile. Surtout que si la seule personne susceptible d'avoir un minimum de bon sens était Faith, ça se passerait... pas forcément super bien. Première cible recherchée. Stan en vue. Target located. Le brun étaler par terre était la victime parfaite. Mode humiliation activated. Pas de marche vers Stan. Roooh putain c'est quoi ce... liquide indéterminé qui tapisse le sol? Ça sent pas la bière... Bref, (re) focalisation. Stan avait enlevé une chaussure et se bouffait le gros orteil. Super. Sans profonde réflexion et après avoir levé les yeux au ciel, elle prit le brun par l'oreille et le traîna vers les escaliers. Mais bon, comme rien ne se passe jamais comme prévu, la porte décida de s'ouvrir à ce moment précis. (mais si, je suis au courant que c'est pas la porte qui s'ouvre, je sais que je suis rousse mais pas à ce point-là quand même) Et derrière se trouvait une très jolie jeune femme, pas trop grande, pas trop petite, toute en sueur. Stan en profita pour l'éclipser et reprendre sa place sur le canapé. Pff, great. Un coup à péter un plomb. Voilà, le tableau était reformé. La populace semblait l'avoir oubliée de toute façon. Ils se balançaient des phrases par-ci par-là), bref, bien chiant quoi. Au oreilles de la jeune femme, ça donnait à peu près ça : « ... je fais du ragoût de tes yeux et je les bouffes. - Plus on est de fous, plus on rit. - ... RACITE DES SOMALIENS !! - Je vais me doucher. - Bien ou bien ?? - On verra tes formeeees. - Cours Dobby ! Cours !! - BAWAI CHUI ENCEINTE ... » etc. Enfin là ça s'était calmé, mais pour reprendre de plus belle, parce qu'entre temps une autre merdeuse brune était arrivée. Dans le tas, elle avait entendu la jeune fille transpirante se présenter sous le nom d'Adam. Adam, sérieux. Pauvre petite chose. Déjà qu'avoir un nom de mec c'est difficile à assumer, mais alors un nom de pd en plus, merci bien. (no offense pour les Adam, ce n'est pas mon avis ahah, mais celui de mon perso hum). Enfin bref, donc, le bruit ne faisait qu'amplifier. Regarde bien mon enfant, ça, tu ne le verras qu'une fois, et ça risque de ne pas durer longtemps. La meilleure façon de calmer le brouhaha général ? Observe la pro et prend des notes, ça peut servir. Faith monta sur le buffet - après l'avoir débarrassé bien sûr - en faisant gaffe à ne pas se manger le plafonier, et prit une grande inspiration. Allez, on reste zen. Caaaaaaaaaaalmeeeeeeee. « PUTAIN C'EST PAS BIENTÔT FINI CE BORDEL ? C'EST QUOI CE BOUCAN MERDE D8 ON EST PAS A LA GARDERIE LA ! VOUS VOUS FOUTEZ DE LA GUEULE DE QUI ?!? TOI, MET UN FUT, TOI, POSE CAAA, RAAH MAIS ARRÊTE DE TRIPOTER LE CHANDELIER, ET TOI DÉGUEULASSE PAS LE SOL AVEC TES -MES- CÉRÉALES ! VOUS ÊTES PAS CHEZ VOTRE GRAND-M'MAN BORDEEEEEL. » Cool... Dès qu'avoir Stan à gérer, c'était pas une sortie à la place, alors cinq autre gosses, bonjour ("bonjouur!" dit petite patate) la galère. Enfin bon, c'est pas tellement que la rouquine adore (style un kiffe inavoué tout) mais pour le coup, elle devait bien admettre qu'elle aimait quand les gens se taisent et l'écoutent. (par "l'écoutent" j'entends "supportent ses cris sans se plaindre" mais vous voyez comme la nuance est faible). Bref, elle était devant un troupeau de chiens de traîneau (cette insulte ? est très développée) qui la regardait curieusement sans dire un mot (elle ne s'attendait pas à ça en fait), sauf Stan qui beuglait tout seul mais ça compte pas, et elle ne savait plus trop quoi dire. Sans mentir (c'est pas un bout de vers de LaFontaine ça ?) elle était consternée par le silence qui régnait dans le loft pourtant si bruyant habituellement.
UNDERCO
Spoiler:
edit Nirva: j'ai mis un temps fou à retrouver la feuille aha, mais voilà la réponse!