✏ JUNE - WELCOME TO THE LIFE BABE ✐ FINIE

June Esther Olligan

surnom

June

âge

22 ans

camp

Omoisien

race

humaine

caractère

Adoptée. C’est une pilule qui n’est pas passée si difficilement que ça. June a été recueilli par chance dans une famille extraordinaire. Elle a déployé un sens de sociabilité très fort, même si elle n’est pas douée pour se faire des amis, elle a le contact facile. June est devenue une fille très douce et très calme. Elle cache toutes ses émotions et ne montre qu’un sourire. Il est dur de savoir si elle est triste ou réellement heureuse. Elle montre toujours beaucoup de patience envers les autres. Ce n’est pas, attention, une fille modèle. Elle a un côté buté très affirmé, elle a des épaules larges et supporte toute la douleur de son enfance. Mais elle est très mélancolique, rêveuse et assoiffé de connaissance. Elle est hantée par des images du passé, ça l’a poursuit, mais qui sait elle rencontrera peut être un beau jeune homme avec qui elle se mariera et avec qui elle aura des enfants. Elle garde toujours ce masque de celle qui va bien, elle est très renfermé sur son monde mais elle adore les enfants plus que tout.

physique

BOMBASSE. Mouhahaha j’ai attiré votre attention là je crois. DONC, oui June e »st toute jolie. Elle est de taille moyenne, dans les environs d’un mètre soixante dix. Elle possède une belle chevelure brune, par nature ses cheveux sont lisses mais parfois ornés de quelques boucles anglaises. June a de très beaux yeux marron automne. Elle les tient de sa mère sans aucuns doutes. Une silhouette dessinée avec grand soin, des formes harmonieuses. Pour pas dire bien foutue je préfère vous dire qu’elle a un tour de poitrine raisonnable mais assez plaisant pour la gente masculine. :kiwi:

. Un teint rosé / pâle qui fait ressortir le rose de ses lèvres. June est très belle et souvent on peut voir son air rêveur briller dans ses yeux.

histoire

Mon cœur, mon amour. Quel bonheur de se dire que tu vas naître d’ici quelques heures ! C’est peu commun certes d’écrire une lettre à son enfant mais ton père et moi n’avons pas le choix. Nous savons que tu es une fille ! Quelle bonheur mon ange de me dire que je vais donner naissance à un amour tel que toi. Je ne sais pas par où commencer. J’ai rencontré ton père à l’université. J’étais jeune et j’avais un très gros faible sur les sportifs. Lui était dans l’équipe de baseball. On est vite tombé amoureux et ce fut la vraie romance. La vie n’a pas toujours été rose avec ton père, nous avons fait un choix qu’aujourd’hui nous regrettons amèrement. Nous avons rejoint les Sangraves, mais mon cœur je peux te dire que jamais je n’aurais crus voir tous ces morts. Avant toute chose sache que tu as le droit d’avoir honte de nous, honte de ma sottise d’avoir accepté de devenir Sangrave en entraînant avec moi la chair de ma chair. Ton père en souffre aussi, il regrette tant. Quand j’ai appris ma grossesse j’ai tout de suite su que je t’aimerai, mais mon amour j’ignorais que tu serais embarquée dans notre bêtise. J’écris cette lettre de la part de ton père et moi, même si il n’est pas à mes côtés. Je suis là avec toi en moi et je m’imagine à qui te ressembleras le plus. Mais tu seras belle j’en suis convaincue. Ton père est absent, je le sais au fond de moi nous ne nous connaîtrons jamais toi et moi. Je ne sais même pas si tu connaîtras ton père. J’ai du fuir, fuir notre base pour te protéger mon amour mais hélas je ne sais même pas à qui te confier. Ton père devait me rejoindre il y a déjà deux heures, il ne viendra plus je le devine bien. Mais vois-tu je me dois de te léguer notre amour et notre histoire. Tu es le fruit d’une union fort, ne l’oubli jamais. J’ai repéré sur la carte un petit village où je compte me réfugier. On ne peut pas quitter les Sangraves, on est marqué à vie. Pour traîtrise ton père et moi sommes condamnés à mort et toi mon cœur, nous te sauverons. Tu seras une fille forte je le sais. Je m’étais tant imaginé t’apprendre à marcher ou même te tenir dans mes bras. L’idée de ne pas être là pour t’aider à souffler tes bougies me brise chaque secondes un peu plus où je vois la mort se rapprocher. Oh pardonne mes larmes sur la lettre, je m’étais tant rêvé cette vie avec toi et ton père. Stefan, c’est le nom de ton père. Moi c’est Elisabeth. J’ai épousé ton père très jeune à mes dix-huit ans. Le soir même j’ai pris le nom d’Elisabeth Olligan. Nous nous aimons beaucoup tu sais. Je sais que je vais bientôt le retrouver au paradis et nous veillerons sur toi depuis là haut. Je ne serai jamais loin de toi ma puce. Tu es notre espoir. L’espoir que tout ce que nous avons fait, tous nos actes un jour soit le fruit d’un beau résultat. Et quel résultat te voilà toi ! Tu es notre plus grande réussite ! Ne nous en veut pas trop mon ange de ne pas être avec toi plus tard. Nous t’aimons et t’aimerons toujours. Tu es mon petit soleil. Tous les soirs depuis que je sais que tu existes, je te chante une berceuse. Je ne veux pas que tu l’oublies, car je le sais quand je te parle ton cœur m’entend. Pour toi je vais la chanter une dernière fois quand le moment sera venu. Dans la vie tu devras sans doute faire des choix, surtout réfléchis bien. Pense à toi, à ceux qui t’entoure. Mais quoi que tu fasses je serai toujours fière de toi. Tu devras être forte ma fille, très forte. J’aurais aimé avoir plus de temps, pouvoir te prendre dans mes bras et te dire à quel point je t’aime. N’oublie jamais mon cœur que tu n’es pas responsables de ce que ton père et moi t’avons fait, ce soir nous t’offrons la liberté. Je ne t’ai même pas dit comment nous te prénommons ton père et moi. June « Esther » Olligan. June parce que J’Unis Notre Espoir, le mien et celui de ton père. Nous t’aimons fort et ce pour toujours.
Maman & Papa.
Sur les pavés froids d’Omois, une femme cours, elle est en sang. Dans ses bras un pan de robe déchiré avec un bébé bien protégé. Elle se votre sur le sol, protégeant le nourrison, elle rampe vers une maison et y pose son bébé. De sa poche elle sort une lettre et chantonne tout doucement dans la nuit. https://www.youtube.com/watch?v=RQ404pnVgN8
Chut. Chut, faut pas te réveiller.
Je voulais juste t'embrasser
Te regarder encore une fois
Pour t'emporter avec moi
Là où je vais chanter

Maman t'aime

Surtout ne me regarde pas
Surtout ne me tends pas les bras
Ne pleure, ne pleure surtout pas
Je vais rester et je ne peux pas

Maman t'aime

Que je t'aime

Je le sais, je te fais de la peine
Mais je t'emmène avec moi sur scène
Et si le public m'ovationne
C'est parce que t'es avec moi, mon homme.

Maman t'aime
Je t'aime
« ELLE EST LA TUEZ LA. »
Les bruits de coups de feu raisonne, la femme tombe et regarde une dernière fois son bébé. June.

(c) sunday girl