Caractère fait *___* Et les signatures beugent toujours, j'ai pas ce fuckin' de bouton DDD: Si tu veux je fais une capture d'écran.

NYAAAN Tonton ♥ J'ai cru que t'allais jamais me souhaiter la bienvenue padawan indigne è___é Et mon style d'écriture je me fais défoncer souvent parce que c'est trop du "n'importe quoi". Sortir des conneries à tout de champ c'est un art v.v

EPIC FAIL.
J'ai pas fais l'histoire x').

Double post, sorry \o/ J'ai appris que il y avait un post limité de caractères par post. Je poste le début de l'histoire ici, je finirais sûrement ce soir ;)
ps - J'ai fais ça sous un coup de tête, je dois reprendre tout ce soir en même temps :3

Disenchanted - My Chemical Romance

« Ca fait longtemps que je ne t’avais pas vu mon petit Stanley … Toi aussi Faith, comme vous avez graaandi »

Le brun aux allures de rebelles avait une sœur … Qu’il a toujours d’ailleurs. Faith. C’était son nom. La foi en anglais, ou un truc dans le genre. Pas très courant fallait l’avouer, mais son frère avait toujours ça classieux. La mère de la famille avait était totalement dévorée par un Krakdent qu'avait trouvé "trop mignon", pas très réjouissant, et leur père avait un mal fou à se remettre de la mort de sa femme. Si bien qu’il s’était bâti une formidable protection affective anti gens. Mais la fratrie appelait plutôt ça un mur anti con, et le fait de voir le portrait caché de sa chère dulcinée défunte à travers Faith l’assassinait de jour en jour. Les deux enfants, déjà petits, se faisaient souvent remballer par leur père pour leurs « gros mots » comme disait les maternelles. Enfin petits … Vers dix ans. Tout allait pour le mieux. Puis CRASH, leur père sombra dans une sombre folie, des dettes à payer qui s’accumulaient. Le regard marron, autrefois si brillant et parsemé d’ambre de leur paternel se transforma en lac de givre, vitreux, froid et impénétrable. CRASH numéro deux, vous savez quoi ? Il venda la maison, et trouva un foyer d’accueil. Stanley et Faith furent mis à la rue.
Crash …

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« Il est con … Je le déteste ! »

Stan shoota dans une canette qui traînait dans les environs.

« T’arrête de râler un peu ? T’es chiant à la force ! » gronda sa sœur.

Seuls dans la rue à quinze ans, c’est pas l’adolescence qu’ils avaient voulu. Ils rêvaient d’une vie joyeuse malgré l’absence de leur mère. Vu dans l’état où ils étaient, l’expression « être au fond du trou » était plus que suffisante. Quoiqu’ils continuaient à creuser car le froid, l’hiver arrivaient. La fratrie s’enflammait sous les moindres provocations de ceux qui les traitaient ouvertement de « clochards ». La faim pesait et souvent, Stan et Faith allèrent implorer l’aide du foyer de leur père qui faisait semblant qu’ils ne les connaissaient pas. Un poids immense dans le ventre, une colère sourde montait en eux, avec comme repas un sentiment amer : l’amertume.

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« Joyeux anniversaire Faith ! » hurlèrent les jeunes de la misère ensemble.

Stan regardait sa sœur, un sourire aux lèvres. Comme le disait la tradition, il fallait souhaiter les anniversaires des gens qui nous étaient chers. A errer dans les rues, la jeune fratrie avait réussi à se faire des amis, et c’était en rond qu’ils fêtaient toutes les célébrations des traditions. Un esprit de famille habitait entre eux, et le groupe était soudé par un formidable esprit d’équipe.

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« Drew ! Vas – y arrête de jouer aux cons là !
- J’en ai marre de cette vie ! »

Un ami, en haut d’un toit, le visage zébré de larmes poisseuses et les traits meurtris par le temps et la famine, s’apprêtait à faire le saut de l’ange pour rejoindre les siens. Drew qu’il s’appelait, dans le groupe, c’était le broute en train, toujours prêt aux pires abruticités. Sa tentative de suicide faisait l’effet d’une bombe nucléaire dans le cœur du groupe. Faith était en haut aussi, tentant de le raisonner, lui faire oublier la souffrance et la colère que nourrissait les clandestins de leur genre, rien n’y fit. Sans crier garde, Drew donna un coup de pied dans le ventre de la jeune femme qui se plia en deux et courut dans le vide. Des gémissements s’élevèrent, se mêlant à l’unisson et Stanley courut dans les escaliers de l’immeuble pour voir l’état de sa sœur.
En haut, Faith crachait un filet de sang.

« Il frappe bien pour un dépressif quand même …
- Ca va ?
- Ouais j’pète la forme, j’vois des petits poneys roses qui mangent des arcs en ciels. » fit Faith d’un ton ironique.

Stanley soupira en leva les yeux au ciel. Il épaula sa frangine et ils descendirent. Les jeunes de misères avaient leur attention braquée sur le cadavre inanimé de Drew.

« Il est moooort ! hurla une fillette où l’âge ne devait pas excéder les huit ans.
- Mais t’es bien conne … LANCE UN REPARUS ! LANCEZ LUI UN REPARUS ! VITE ! »

La foule, confuse et ayant un mal évident à réagir, s’agita dans tout les sens. Sur AutreMonde, mourir était un vaste mot, certains revivaient comme par enchantement. En espérant que les dieux d’Autremonde soient cléments avec cet adolescent de la rue. Une vingtaine de jets de magie fila vers le corps du suicidaire qui resta à terre. Sa poitrine resta affreusement plate, sans mouvement, inanimée. Morte. Dépouillée de toute vie.

« Là, il est mort.
- T’es con Stan quand tu mets. Mais t’es d’une connerie tu pourrais monter une entreprise de cons j’suis sûre que t’aurais de quoi gagner très bien ta vie.
- T’étais pas sensée t’être pris un coup de DocMartens dans le ventre toi ?
- Oui mais je râle pas quand on me tape moi »

Quand elle s’y mettait, Faith était vraiment insupportable.

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« Comment ça vous partez ?
- On a trouvé un logement fixe près d’Omois. »

C’était un beau menteur. Oui. Stanley et Faith avaient décidés de prendre des libertés, de croquer la vie à pleines dents. Et avec le groupe, c’était impossible.

« Vous vous en allez ? Pour toujours ?
- Non pour dix minutes et on revient, on fait des adieux pour le fun, répliqua l’adolescent en levant les yeux au ciel d’un air agacé
- Tu pourrais me répondre gentiment …
- Ecoute Amber, on part. Point barre. »

Les yeux de la fillette se remplirent de larmes.

« Vous vous en allez au Ciel comme Drew ? »

Un pincement de cœur prit Stanley. Elle était d’une innocence remarquable et si attachante … Elle aurait mérité des parents elle …

« Non. On part vers notre paradis.
- Et c’est où ?
- Loin. Très loin. »

Et les adieux les plus courts étaient les moins douloureux. Stanley et Faith saluèrent leurs amis de misère, ceux qui les avaient toujours soutenu dans les coups durs. Puis ils remontèrent la colline d’un air déterminé.

« Tu crois qui nous en veulent ?
- Pas suffisamment pour nous haïr.
- J’étais sûr que t’allais répondre ça.
- Au bout de cinq ans qu’on vit ensemble vingt quatre heures sur vingt quatre, ce serait con de ne pas se connaître non ? »

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Stanley et Faith eurent bientôt l’âge doux des dix huit ans. Depuis, ils avaient revu leur père et le jeune homme lui avait foutu une claque, suivi de sa sœur qui envoya son pied dans la partie la plus sensible de son anatomie. Leur géniteur les avaient abandonnés, leurs faisant voir les pires choses. Ils avaient côtoyés la mort, presque toucher le voile de la Faucheuse, ils avaient vu leurs amis mourir, plus ou moins volontairement. Malgré les excuses de leur unique parent, rien n’y fit.

« Vous savez ce que c’est que l’amour ? »

Les yeux de la fratrie se voilèrent.

« C’est ce qu’on a ressenti pour Drew … Ou Amber … Ou encore Ayton et Hyra. Mais pourquoi cette question ?
- J’ai jamais cessé de vous aimer.
- Si bien qu’on était des fantômes à tes yeux quand on venait au foyer d’ailleurs. Si bien que tu te fichais de nous. Si bien que tu nous a abandonné, pensant qu’à toi, toi et ton petit confort !
- Je n’avais pas le choix !
- TA GUEULE ! »

Et Stanley se reçut une claque. Une magnifique claque de la main osseuse de son père.

« On dit pas ta gueule, on dit tais toi s’il te plait.
- C’est pareil. C’est comme toi et salopard c’est la même chose. »

Re-claque. Faith foutu son pied dans la figure de son géniteur qui tomba à la renverse.

« Touche pas à mon frère salopard. »

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Après leur rencontre avec leur « cher » père, Stanley et Faith vagabondaient encore dans les rues désertes des plus grandes villes. Ils évitaient Omois, pourquoi ? Bonne question, pour eux, tout ce qui brillait n’était pas de l’or. Leur pays favori restait le SmallCountry, ils aimaient la compagnie des habitants, toujours prêts aux pires choses pour faire une blague « gentille ».
Puis ce qui ne devait surtout pas arriver arriva.
Stanley, le rebelle, le con, Stanley l’abruti, Stanley, celui qui avait des phrases si blessantes, l’anarchique à tout épreuve et l’enfoiré de première tomba amoureux.
Et pas de n’importe qui. D’une personne qui connaissait très bien.
Faith. Sa propre sœur.

Ce sentiment le traumatisait, surtout que, aimer sa sœur au sens amour propre n’était pas la chose la plus recommandable au monde. Mais Stan s’en fichait.

« On va où au juste ?
- On a déjà eu une destination particulière depuis qu’on se balade 24/24h ?
- Y a que les cons qui changent pas d’avis. »

Stanley leva les yeux au ciel. Ouais d’accord, sa sœur était d’humeur massacrante, pour changer.
Et un an passa sans qu’ils ne purent voir quoique ce soit.

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« Tu sais ce que c’est que l’amour ?
- Stan, tu ressemble à papa quand tu dis ça, arrête ça me stresse.
- Non mais moi je suis sérieux.
- Moi aussi figure toi. »

Le jeune adulte regarda sa sœur avec un grand sourire. Dire « je t’aime », il ne l’avait jamais envisagé. Cette phrase n’avait aucun sens pour lui, trois mots dépourvus d’âmes, comme un « j’aime les pâtes ».

« J’ai ressenti de l’amour pour Amber, Drew, Papa un peu, Maman pour ce que j’ai connu d’elle, toi aussi, t’es mon frère c’est normal.
- Non mais pas CET amour là.
- Y a plusieurs amours maintenant ?  fit Faith d’un ton amusé.
- Oui.
- T’es devenu chiant tu sais ?
- Oui. »

Nouveau soupir. Stanley était peut – être devenu chiant, Faith n’était pas mieux à ces yeux. Elle lui demanda pourquoi cette question, un seul mot lui vint : Rien. Les jours passèrent, et un sentiment de déjà – vu à chaque endroit qu’ils passaient prenait la fratrie. Et cette impression, ils la détestaient. Et les questions récidivaient « On est pas déjà passer par là ? », et la réponse était des « Oui ». Les deux frères et sœurs étaient loin d’avoir fait Autremonde de long et en large, mais, refusant d’utiliser la magie, ils étaient contraints de rester sur les terres à peu près pacifiques. Et l’idée d’aller se suicider à Salterens en se jetant dans un tas de T’sils ne les enchantaient pas vraiment.

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« Bon Faith, faut que je te le dise !
- Qu’est – ce que tu vas encore me dire de suuuper intéressant encore.
- Je t’aime.
- Mais moi aussi frérot !
- Je sais. Mais … Laisse tomber t’es trop débile pour comprendre.
- Attend… Tu veux dire que … Mais Stan ! Qu’est – ce que tu fous bordel ? Je te rappelle que les mariages entre frères et sœurs sont interdits. En plus bah moi j’t’aime pas en amoureux, en frère t’es cool mais sinon …
- Ouais c’est bon je vois pas la peine de faire un dessin j’suis pas con quand même.
- J’en doute … »

Ouais. Sympa la frangine. Stanley fit la mine la plus défaite qui pouvait faire, c'est-à-dire une sorte de tête de chat botté dans Shrek. Et Faith lui décocha une magnifique gifle.

« Mais ça fait mal !
- C’était le but. »

Pour le coup, c’était méchant. Surtout que non seulement le jeune homme savait que bah … Il était condamné à aimer sa sœur sans retour, elle qui est si à l’appui sur les traditions, mais aussi qu’elle semblait bien se contreficher des « sentiments » de son frère. Dommage …

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La fratrie eut une rencontre supplémentaire avec leur père. En effet, devenu malade à l’idée d’abandonner ses propres enfants, voulu absolument avoir leur pardon. Quand Stanley le vit, il sentit son corps se raidir : Sous un chapeau large et grand qui dissimulait un mince visage, son géniteur se tenait là, frêle comme une feuille, menaçant s’effondrer sur ses jambes de verres. Le plus affligeant fut quand il releva une partie ballante de son couvre tête, laissant voir un sourire effacé et des rides de tristesses. Stan crut percevoir toute la peine du monde au fond de ses yeux marrons. L’image même de la mort et de la culpabilité se tenait devant eux, et le jeune adulte eut un léger pincement de cœur. Il n’arrivait plus à trouver ses mots, et Faith le devança.

« Tu es soit formidablement stupide, soit tu nous aimes vraiment papa …
- Opte pour la seconde solution Faith. Vous m’avez manqué … »

La fratrie baissa les yeux, hésitante.

« Je vous aime.
- Nous aussi papa » dirent – ils à l’unisson.

Et  c’est dans des retrouvailles que se termine cette histoire.

Reconnaissable entre mille ? Tu me flattes Tonton *___* Bref. Je vais vous annoncer un truc énorme : J'AI FINI L'HISTOIRE ! Et ceux qui étaient avec moi sur les ChatBox ces jours ci peuvent témoigner de ma galère à l'écrire x___x
Voilà, j'enchaîne sur le pré - crée de Faith. Faut bien quelqu'un pour la jouer (a) En attendant, vous pouvez enfin me valider v.v.