Alors, oui en effet, je fais déjà un DC, c'est pas bien ><
Ce n'est absolument pas que Pinocchio me gonfle en particulier, jamais de la vie ! (Quand même quoi, Pino :3)
Mais c'est juste qu'il m'est impossible de participer aux RPs généraux avec lui... c'est pas crédible, Pino est capable de tout mais de ça XD
J'ai regardé les conditions, normalement je peux faire ce DC mais si vous refusiez pour quelques raisons que ce soit, je comprendrais (t'as vu ? Je comprends tout moi ! *sors*):3
Et puis j'avais bien envie de jouer un vieux ♥
Je prévois de l'utiliser exclusivement pour les RPs généraux, je n'aurais aucun mal à gérer, sur ce point je suis sûre =)

Catherinavenusadiro
« Et le grand dragon asiatique rêve, fait ses étirements, tranquillement. Il est beau, il est puissant... »

Mon Age : L'équivalent humain de 86 ans (ah bah oui, j'ai pris l'âge de l'acteur, ça le vieillit bien notre Michel)
Mon surnom : Katerine.
Ma Race : Dragon
Mon Familier : Bill, une limace violette.
Mon camp (Sangrave, Haut-Mage, Neutre) : Haut-Mage.
Ma Magie ( puissance, couleur) : Blanche, autrefois très puissante qui a malheureusement décrut avec l'âge.
Mon métier : Ministre de la Culture et Professeur à l'université.
Mon Pays : Dranvouglispenchir.

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« Tatez-moi cette épiderme !»

Il y a sur Terre, les humains. Ameutés en plusieurs groupes, ils ont tous leurs particularités : les asiatiques auront les yeux bridés, des couleurs de cheveux et d'yeux sombres, seront imberbes et petits. D'autres provenant des pays serbes seront blonds et auront des yeux clairs. Pour les dragons, c'est pareil. Catherine était un peu l'unique chinois dans une classe d'occidentaux, caché au fond de la salle. Alors que ses semblables sont immenses et que leurs ailes semblent envelopper la nuit, lui, qui n'en a pas, est long et effilé comme une anguille. Comme un gigantesque lézard aux écailles, déjà blanches naturellement, ternies par les années et à la crinière bleue écourtée par le temps. Ses moustaches sont démesurément longues et fouettent un vent qui n'est plus le leur.
Catherine, quand il préfère la terre ferme aux volutes du ciel, prend l'apparence d'un homme au visage marqué, mais souriant. C'est un très vieux dragon, son âge équivalant à celui du vieillard dont il porte le visage. La racine de ses cheveux a reculé sous l'assaut des jours anciens, et sa peau, pale face à l'approche de la dernière heure, tombe mollement.
C'est un petit sénior, avec un certain embonpoint. Le bleu de son regard est semblable à celui d'un autre, et on y voit parfois briller une sénilité qui approche à grand pas. Et ses mains tachées d'arthrites, pourtant si grandes et si rugueuses, agrippent les vôtres, sa dernière accroche à la vie. Pourra t-il porter encore longtemps la sienne du bout de ses doigts qui tremblent sous son poids ? C'est ce qu'on se demande face à la fragilité de sa personne. Fragilité qu'il détruit en un sourire.
Tout est trop clair chez lui. Sa peau, ses yeux, ses cheveux. Tel un fantôme, il pourrait s'évanouir à tout moment. Cependant, quand ses lèvres minces remuent et laissent filtrer le son d'une voix rocailleuse et cassée, comme nos vinyles, il nous apparait évident que cette cacophonie est réelle.

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« dans cette boîte cranienne, tes pensées je les faisais miennes.»

Vous êtes sur une terrasse, l’atmosphère est lourde et humide. Dans le ciel, de gros nuages noirs. L’air est gris ou bleu et vous êtes sur une terrasse dallée de chair ou de rose. Un orage au-dessus de la tête, des gouttes amères perlent mais aucun son ne se fait entendre. L’atmosphère est lourde, elle vous abaisse les épaules. L’orage n’a pas encore éclaté, vous sentez que c’est là, tout près, mais il n’y a ni tonnerre ni éclairs. Cet orage, c’est Catherine. A sa manière de pincer des lèvres et de laisser voler son regard, on sent une sorte de colère qui semble vouloir éclater, elle est là, tout près, mais il n’y a ni éclairs ni tonnerre.
Catherine est pourtant un homme calme et souriant. Peut-être trop d’ailleurs ? Assis sur son banc, à sourire bêtement, il regarde les gens passer avec une certaine envie. Catherine est un vieillard aujourd’hui, il a laissé passer et occupé trop de temps pour qu’il puisse maintenant s’ennuyer. Mais ses mains tremblent et on comprend facilement que tous ses jeunes qui passent, il aimerait les dévorer et gagner un peu de cette vie fleurissante.
Mais le temps ne lui a pas juste apporté du regret : de la sagesse aussi et de la patience. Il ne se pose pas de questions sur sa fin. Pas comme tous les autres, lui, il se demande simplement qu’elle est le chemin qu’il aurait aimé prendre ? Celui emprunté est-il le bon ? Il se remémore ce chemin et récupère tous les cailloux pointus pour mieux les polir.
Lunatique cependant, cette impatience peut voler en éclat et il déverse toute sa peur, sa peur de partir, toute sa colère, contre ses gens qui perdent leur temps dans la file à la caisse, où à ronfler au lieu de bouger, il déverse toutes ses émotions en des flots d’énervements incontrôlables et parfois même violents. Et puis après. Et puis après il se rassoit, les mains tremblantes, le regard égaré et les lèvres pincées qui se redressent en un sourire désolé. C’est un homme gentil et doux, mais juste apeuré et perdu.
Est-il heureux ? Oh que oui, et même si le temps a emporté tous les êtres chers à son cœur, peu importe, l’Histoire et l’Art sont toujours là pour faire briller ses petits yeux bleus. Car oui, la compréhension du monde a toujours été une chose importante pour Catherine. Et l’Art et l’Histoire peuvent l’aider à appréhender cette réflexion. Il veut tout savoir, tout voir, tout comprendre. Il est là à toutes conférences, tant qu’il le peut, à toutes les célébrations, toutes les cérémonies et lis toujours assidûment les journaux. Une soif d’apprendre, une curiosité démesurée et sans fin basés sur un complexe d’enfance.

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« trésors satinés, dorés à souhait »

Made man self. Catherine, avant de devenir ministre de la Culture, avait été gardien dans un musée. Il avait appris beaucoup, il écoutait les guides et leurs explications, et la nuit, quand c’était son tour de garde, il avait repeint le monde de ses moustaches, inventant des aventures à ces tableaux de l’Histoire ou des idylles aux statues de marbre.
Quand il était tout petit, Catherine, qui n’avait déjà pas un physique très avantageux, avait été victime de brimades. Distrait et passif comme la Lune, on pensait donc qu’il devait –naturellement- être idiot. Que nenni. Catherine a toujours été un garçon intelligent, mais il préférait utiliser sa vivacité d’esprit dans ses histoires et ses rêveries.
Il s’est lancé dans de grandes études, suivit la voie des philosophes, a tenté (et tente toujours) de tout savoir sur tout. L’ignorant est une chose qu’il ne peut pas supporter, aussi ne supporte-t-il pas l’idée d’être traité comme tel.
Baser toute sa vie sur une rancune de gamins ? Puéril dites-vous. Mais par chance, ces études ont passionné notre vieux dragon et il en fut bien emballé. Il a écrit régulièrement pour une presse littéraire et une autre d’arts visuels, s’est fait connaître des musées et son avis a peu à peu pris de l’importance pour les initiés. Très apprécié, il eut une petite notoriété.
Puis un jour, la Guerre contre les Démons a éclaté et il dut se rendre sur le front. Les livres d’Histoire mentent bien sûr. Seuls les gagnants écrivent sur ses pages et contrairement aux écrits, ce fut nettement plus destructeur… plus horrible…
Et Catherine, qui préférait se cacher les yeux, psalmodiait des vers et des chansons de grands artistes pour couvrir les cris. Il était (heureusement) au poste de la communication, aussi ne put-il pas voir toutes ces horreurs. Ses citations étaient soit agaçantes, soit amusantes. Par moment, une petite histoire racontée par ce dragon qui avait appris l’art de l’éloquence était une véritable bouffée d’air frais.
Il y avait dans le lot de soldats, le père de Charm qui avait beaucoup apprécié cet étrange dragon. La vache ! Il n’a pas d’ailes !
L’ancien roi n’était pas encore monté sur le trône et quand ce fut le cas après la guerre, quand il dut construire son gouvernement, il lui parut tout à fait approprié de nommer Catherinavenusadiro, Ministre de la Culture, avec qui il avait noué une amitié.
Ainsi donc, Catherine fut lancé dans une vie politique certes intéressante, mais qui ne le branchait pas trop. C’est trop sérieux, pas assez… « beau » la politique. Mais la politique est le moteur de l’Histoire alors…
Cela fait maintenant des années qu’il est à ce poste mais chaque roi et reine, trouve que cet honneur lui va à ravir, malgré son absence d’ailes. Alors qu’aujourd’hui, l’important était devenu l’argent, il ne pouvait y avoir qu’un homme à l’esprit suffisamment honnête et passionné pour mériter un tel grade.

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« pommes d'or, pêche de diamants »

Code : *Validé par Cha'* Sauf moi, moi je vais survivre et ben tu sais pourquoi ? Parce que je suis une boss d'ailleurs tu sais quoi ? Je suis un dinosaure, et ouais, l'unique qui ait survécu : D
Prénom : Marie.
Avez-vous lu Tara Duncan ? : Il me manque le 9.
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Et sinon, tu as pensé quoi ce matin en ouvrant les yeux ? A un manguier de plus de dix milles page, où il se balance dans une cage.
Qu'est-ce qu'on trouve sur tes étagères ? Mon portable, une souris rose, ma boite coréenne offerte par Papa, de l'encre de Chine et une boite de peinture, ma botte à talon 8 cm en velours bleu avec des chaines, du sable de la Martinique, deux trousses, un gros cahier à spirales et pleins de feuilles que je sais pas ce que je sais. Et de quoi écrire des lettres.
Tu fais quoi dans la vie ? Je dynamite des aqueducs.
De quelle couleur sont tes chaussettes ?Je porte un collant :3